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La méthode des Quatre R inspirée de la Communication Non Violente créée par Marshall ROSENBERG

Le 8 mars 2015

Gérer l’agressivité dans la vie quotidienne par la méthode des quatre R inspirée de la Communication Non Violente de Marshall ROSENBERG

En guise de clin d’œil… Cet article est dédié à Didy82 qui se reconnaîtra !

Qui n’a pas reçu, à un quelconque moment de la journée mais de préférence à l’instant précis où vous êtes à fleur de peau, vulnérable, fragile, fatigué, un message singlant de votre collègue ou patron, de votre conjoint ou de votre gamin sur le point de partir au lycée, ou encore, une voix au téléphone qui pour un peu, vous rendrait sourd à force de hurler dans le combiné, une lettre que vous venez d’ouvrir, un courriel voire un tout petit SMS de rien du tout mais contenant juste assez de mots pour vous blesser, pour vous réduire en miettes? Que se passe-t-il à ce moment-là? votre première envie serait de saisir au col votre interlocuteur, qu’importe qu’il soit colègue ou supérieur hiérarchique, au mépris des conséquences éventuelles… ou bien de crier plus fort que votre conjoint ou gamin afin d’essayer de vous faire entendre… vous raccrocheriez volontiers au nez de la personne pendue au bout du fil, vous vous jetteriez bien sur le clavier de votre mobile ou de votre ordinateur. Vous êtes, en somme, au sommet de la poussée d’adrénaline qui joue parfaitement son rôle… lequel est dans 99% des cas, totalement inadapté à la situation. L’hormone du stress grimpe en flèche, mobilisée par le cerveau reptilien hérité de nos ancêtres chasseurs et en lutte constante pour leur survie. Elle provoque des réactions en chaîne dont le but est de libérer dans votre organisme les ressources nécessaires à deux actions au choix: prendre la poudre d’escampette ou partir en guerre. Seulement voilà, alors que vous êtes à cet instant une fuerie prête à tuer la terre entière, le véritable besoin qui a déclenché en vous cette énergie dévastatrice en premier lieu pour vous-même, ne saurait être satisfait ni par la fuite ni par le combat. Que faire alors? Pour retrouver le bien-être que vous venez de perdre, voici donc l’application des quatre R selon la pratique de la CNV (Communication Non Violente) mise au point par Marshall ROSENBERG.

1. R comme Ralentir.

On l’a vu, la précipitation à laquelle vous pousserait votre cœur qui bat la chamade n’est pas le remède approprié à la circonstance. Il est absolument indispensable à votre santé la plus immédiate que votre rythme cardiaque s’apaise. Asseyez-vous et ralentissez en acceptant la situation telle qu’elle se présente mais en vous plaçant à l’extérieur d’elle pour mieux la maîtriser. Vous ne pensez pas en être capable? À un moment où vous vous sentez calme, faites ce petit jeu: créez le silence en vous et autour de vous pendant une minute et observez pour les compter, les pensées qui vous passent par la tête. Pouvez-vous faire cela lorsque tout va bien? Si la réponse est oui et il y a de bonnes chances pour que ce soit le cas, alors vous pouvez en tirer cette conclusion: « Je ne suis pas assimilable à mes pensées puisqu’il existe en moi un être capable de les regarder passer de l’extérieur et même de les dénombrer. » Ce constat est rassurant puisque, dans la situation qui nous occupe à présent, celle du message désagréable que vous venez de recevoir, vous savez maintenant que vous avez le pouvoir de vous réfugier en ce lieu inviolable où réside la personne qui, quand vous alliez bien, a pu compter les pensées qui traversaient votre cerveau. N’hésitez pas une seconde, puisque votre corps vous a préparé à la fuite, autant que ce soit plutôt celle-là!

2. R comme Respirer.

L’oxygénation est le facteur clé dont votre cerveau a un besoin impérieux pour redevenir capable d’aligner une série d’idées cohérentes les unes derrière les autres. Petit à petit, vous sentez que votre rythme cardiaque ralentit, que vos mains tremblent moins. Respirez à pleins poumons, lentement. Inspirez par le nez si vous le pouvez, expirez par la bouche… C’est bien, très bien…

3. R comme Reformuler.

Dans la tourmente, l’énervement même, le message transmis par votre interlocuteur est brouillé. Comme vous l’avez pris pour vous, les deux positionnements réactionnels auxquels vous êtes naturellement porté sont, ou bien la colère qui vous incite à retourner le message à l’expéditeur avec une violence décuplée, ou bien la culpabilité et l’auto-dévaluation qui vous poussent à vous envoyer à vous-même un message tout aussi violent tel que: « je ne vaux rien, je suis nul »… La partie de vous-même qui engendre ces deux attitudes aussi contre-productives l’une que l’autre a au moins le mérite de vous renseigner sur vos besoins émotionnels de l’instant présent. À ce titre, traitez avec bienveillance cette part de vous en acceftant de l’entendre. Reconnaître devant soi-même: « oui, je suis triste », « oui, je suis en colère »… n’est-ce pas déjà avoir fait une partiedu chemin? Dès lors, vous allez percevoir qu’il vous faut dépasser ces réactions qui aboutissent toutes deux à humilier quelqu’un: votre collègue, patron, conjoint ou gamin… ou bien vous-même! À ces solutions qui n’en sont pas puisque destructrices pour les deux parties, privilégiez une tentative de reformulation. Au travers du message exprimé en langage agressif, qu’a voulu exactement vous transmettre cette personne? Quels sentiments, quels besoins, quelle demande non satisfaite se dissimule précisément derrière son ton ou ses paroles qui vous sont si dures? Dans la continuité logique du ralentissement et de la respiration, prenez votre temps. On vous crie dans les oreilles une cascade de mots débités à toute alure? Parlez lentement et très doucement, presque à voix basse, c’est le plus sûr moyen de faire baisser de plusieurs crans le ton de votre interlocuteur. Dites par exemples des mots tels que: « bon, on reprend tout. Si je vous comprends bien, vous êtes en train de me dire que… » Choisissez à ce moment-là la formule qui vous semble la mieux adaptée pour résumer la compréhension que vous avez du message reçu, et terminez par: « Est-ce bien cela?

4. R comme Répondre.

À partir de cet instant, vous avez compris que « répondre » ne signifie pas « riposter », mais avant tout, exprimer ce qui correspond le plus exactement possible à votre intention envers l’autre, à votre ressenti, là, maintenant, à ce qui est vivant en vous. Choisissez les mots convenables que votre « adversaire » puisse entendre. Rappelez-vous toujours que si certes votre objectif est de vous mettre en connexion avec l’autre personne, votre limite se situe là où vous en êtes du cheminement, ici et maintenant. En assumant votre responsabilité face à vos émotions (sachant que ce qui vous met mal à l’aise peut ne rien faire à quelqu’un d’autre, tout cela dépendant de vos propres sentiments et besoins), vous laissez également à votre interlocuteur sa problématique, elle lui appartient. Ouf, ça va mieux, vous avez déjà renoué avec une certaine sérénité. Enfin vous y êtes, vous pouvez maintenant exprimer votre point de vue. Soyez honnête dans vos propos, vous aurez eu la satisfaction au bout du compte, si tout se passe bien, d’être entré en lien avec votre… collègue, patron, conjoint ou gamin, et d’avoir fait ensemble quelques pas sur la voie menant vers une solution vertueuse qui n’humilie personne.

C’est mon cadeau, que je ne fais que reprendre et réécrire pour vous: Ralentir, Respirer, Reformuler pour Répondre… Merci à Marshall ROSENBERG, créateur de la Communication Non Violente pratique à laquelle des formations devraient être proposées ou demandées par toutes les organisations ou entités collectives, entreprises ou services administratifs… Cette méthode est à la portée de tous puisqu’elle est pratiquée dans des écoles et qu’Aux États-Unis, même les enfants l’apprennent!

Access Bars : deviens le créateur de ta propre réalité !

Le 20 février 2015

Access Bars

Libère enfin ton esprit des schémas indésirables de peur, colère, tristesse, rumination, amertume, rancune… pour laisser place à ceux de bien-être, gratitude, joie, paix, épanouissement et abondance qui sommeillent en toi depuis toujours! Découvre tous les bienfaits d’une séance d’Access Bars!

Possibilité de recevoir une séance d’Access Bars, à ton libre choix:

– à ton domicile à Paris ou ses environs,
– au cabinet En Soi (24 rue Geoffroy Saint-Hilaire, 75005 Paris),
– à l’espace de bien-être Les Huiles, 34 rue Bichat, 75010 Paris.

Me contacter pour plus d’informations.

Rika Zaraï parle de l’équilibre du corps et de l’esprit

Le 27 décembre 2014

Rika Zaraï qui a beaucoup chanté pour les enfants, ne démentirait sans doute pas cette délicieuse fabulette d’Anne Sylvestre… à télécharger ici et à savourer avec le sourire bien entendu!
Pas de médicaments, maman

« Telle une abeille laborieuse, j’ai choisi et butiné les fleurs de la connaissance pour en extraire le plus beau nectar et vous l’offrir. Comme moi, vous guérirez aussi. À votre tour de transmettre ce savoir à ceux qui en ont besoin afin que chacun de nous soit un maillon utile dans la chaîne humaine. »

(Rika ZARAÏ, Ma Médecine Naturelle, Éditions CARÈRE Michel LAFFONT 1985).

Rika Zaraï, propos recueillis par Jean-Pierre et Daniel Perraud grâce à la gentillesse d’Elisa Rouillat, son attachée de presse, à Paris, le 29 octobre 2001 au domicile de Rika Zaraï entre 16 et 18 H.

portrait de Rika Zaraï, vêtue de blanc, le visage rayonnantEn Inde, dans les ashrams, on apprend à préparer les plats avec amour. Ils
parlent de « l’énergie de l’amour » qui est absorbée par celui qui consomme ces plats.

Notre bonne santé résulte d’un mariage heureux entre notre physique et le mental. Pourtant, de nombreuses personnes ignorent que certains de leurs comportements leur abrègent la vie: ils boivent, fument, s’énervent, ils sont stressés, mangeant n’importe quoi. En fait, sans le savoir, ils font tout pour affaiblir leur système de défense. Le mental aussi peut améliorer ou détruire notre équilibre. Il faut savoir que, lorsqu’on prend pendant quelques secondes et avec tendresse, un enfant dans les bras, cela lui donne
l’équivalent de 25 mg d’un anti-dépresseur connu. On l’ignore, et c’est dommage ! En fait on oublie d’aimer. Il est indispensable de vivre chaque jour au moins quelques moments de tendresse et d’amour.
L’énergie de l’amour est celle quiconstruit l’individu et le monde. Il est important de dire aussi: « Je ne suis pas parfait, mais je suis content de vivre ». C’est un bon début. Mais je ne connais pas beaucoup de gens qui le disent souvent. Pourtant c’est le sésame de notre bonne sécrétion hormonale. Dieu merci, on n’a pas encore trouvé le moyen de tricher avec ce phénomène naturel. Voici un petit exemple du bon ou du mauvais usage de notre
sécrétion hormonale: un père rentre chez lui et voit sa petite fille courant vers lui et criant: « Papa, papa… ». Quand il la prend dans ses bras et qu’elle niche sa petite tête dans son cou, une quantité importante d’hormones de bien-être, les endorphines, se déversent dans son sang et renforcent son système immunitaire. En revanche, au bureau, lorsqu’il craint un licenciement, son adrénaline et d’autres hormones de stress font du mal à son système de défense et affaiblissent sa santé. Les anciens disaient: « Se faire un sang d’encre ». Mais aussi: « Quand le moral va, tout va ».

Lire l’article original ici

Ma lettre ouverte à Rika Zaraï

Chère Rika,

Trois décennies après l’événement télévisuel qui m’a valu de faire connaissance avec le premier de vos livres, ce ne sera donc pas le standard sulfureux du Jeu de la Vérité qui me fera office de canal pour m’adresser à vous. À l’époque où a eu lieu cette émission dans laquelle, il m’importe beaucoup que vous le sachiez, je vous avais trouvée on ne peut plus belle au sens le plus profond du mot, ma fille était à quelques semaines de voir le jour. Presque chaque fois que je racontais à quelqu’un que je lui destinais le prénom de Mélissa, on me ressortait imparablement tous les clichés liés à ce prénom dans la culture populaire du moment. J’étais alors, il faut bien le dire, à des années lumière d’imaginer qu’un jour, je ferais moi aussi du bien-être le but de ma vie, et que je vous dédierais le présent site, allant jusqu’à passer par la page que voici pour vous faire parvenir mon message avec seulement l’espoir fou que vous prendrez connaissance de cet écrit, au besoin parce que quelqu’un passant par ici m’aura fait la gentillesse de vous le transmettre. Lors de ce Jeu de la Vérité, j’avais déjà remarqué avec quel respect, quelle déférence même, vous évoquiez Raymond Dextreit que vous considériez alors comme un maître à penser ou même un père spirituel. Si j’avais eu l’honneur de vous avoir parmi mes proches alors que j’attendais Mélissa, non seulement je sais que vous ne m’auriez pas gratifiée des lieux communs en question, mais encore, j’imagine parfaitement la scène dans laquelle vous m’auriez expliqué avec la passion qui vous caractérise, l’origine de ce prénom. Vous ne m’auriez peut-être pas cité Ronsard et sa blanche mélissette, mais quelle n’aurait pas été ma fierté d’avoir en votre personne un maître, pour ne pas dire un Guru au noble sens d’enseignant dans lequel ce mot est employé en Inde, qui, en grande connaisseuse des plantes et de leurs nombreuses vertus, m’eût instruite des multiples bienfaits de la mélisse…

La séquence vidéo qui va suivre, un peu plus tardive, vous montre avec une détermination intacte défendant le propos de votre deuxième ouvrage. Vous y manifestez la même droiture, la même élégance, la même maîtrise du sujet aussi bien dans le ton de vos propos que dans leur contenu qui témoigne de votre dévouement et même, j’ose le dire, de votre amour des autres.

– devant ceux qui ont cru intelligent de vous railler pendant des années pour se sentir obligés, tant les faits sont têtus et qu’ils aient ou non le courage de vous citer comme référence d’ailleurs, de reconnaître aujourd’hui le bien-fondé de vos recommandations dont le seul « défaut », si je puis ainsi dire les choses, était de parvenir aux oreilles du grand public par un chemin considéré comme non autorisé et surtout en avance sur leur temps;

– devant ceux qui, achetant vos livres par millions, ne s’y sont pas trompés et vous sont restés fidèles parce que vous les avez aidés à vivre d’une manière ou d’une autre;

– devant enfin ceux qui, trop jeunes peut-être pour vous avoir lue ou entendue au cours de ces années-là, découvriront votre travail ici même,

chère Rika, je vous embrasse.

Bien-être du corps et de l’esprit par le Reiki

Le 17 novembre 2014

Le Reiki (prononcer Réki) te propose un temps de relaxation méditative qui te permet de te détendre en profondeur, trouver l’harmonie et gérer ton stress… Bien-être ,garanti pour le corps et l’esprit ! « La paix intérieure dans le calme extérieur ». Séance de 60 à 90 minutes à laquelle peut s’ajouter sans supplément de prix un bain sonore au bol tibétain pour traiter plus spécifiquement une zone douloureuse.

Bien-être du corps et de l’esprit par le Reiki

« Fais du bien à ton corps afin que ton âme ait envie d’y rester. » (Proverbe indien).

Un moment pour toi,
Tu peux accueillir l’énergie bienfaisante du Reiki à ton domicile ou bien recevoir ton soin au cabinet En Soi (Paris 5e), ou encore à l’espace de bien-être Les Huiles (34 rue Bichat, Paris 10e), à ton libre choix.

Vue d’artiste d’une aura.

Cabinet léger ,
24 rue Geoffroy saint hilaire 75005 paris . Appuyer sous le digicode . Le cabinet ce trouve en fond de cours gauche .
Métro les plus proches . Censier daubenton ligne 7
Saint Marcel ligne 5 . Prevoir 5 min pour arriver au cabinet .

Pour en savoir plus, lire ici cet article sur ma pratique du Reiki