Biologie quantique® Protocole de Rajeunissement Cellulaire : vivez un puissant processus de transformation personnelle et donnez à toutes vos cellules une nouvelle jeunesse !

Formation créée et enseignée par Gabriela Gomez

Afin de mieux comprendre tout ce que le protocole Biologie quantique® module de rajeunissement cellulaire (peut faire pour vous, il convient d’aborder, pour commencer, quelques notions de base au sujet de la biologie. Le vieillissement de nos cellules, et par conséquent celui de notre organisme, est à envisager depuis deux approches différentes et complémentaires, à savoir celle de la recherche scientifique conventionnelle et celle des méthodes énergétiques.

Elle s’appuie sur la définition de quelques phénomènes qui sont à la base de la création et de la régénération de nos cellules. L’organisme humain met environ sept ans à se renouveler entièrement, et si notre apparence physique et les principaux traits de notre caractère demeurent inchangés, c’est qu’en se divisant pour se reproduire, nos cellules dupliquent avec elles les diverses mémoires (ataviques, ancestrales, transgénérationnelles, akashiques ou karmiques comme il plaira à chacun de les appeler), qui se sont accumulées en elles au fil du temps. Ce processus d’auto-régénération, et dans une large mesure d’auto-réparation, est possible grâce à l’existence:

– des télomères, ces sortes de filaments qui terminent chacune de nos 23 paires de chromosomes. ce sont des sortes de capuchons protecteurs, comparables à ceux qui terminent les lacets de vos chaussures et les empêchent de s’effilocher. C’est grâce à eux que vos cheveux repoussent à l’identique lorsqu’ils ont été coupés, que vos ongles aussi repoussent dès le lendemain de vos soins de pédicure ou manucure, ou encore, que cicatrise cette méchante coupure que vous vous êtes infligée en faisant la cuisine… Ils permettent la duplication correcte du matériel génétique et, comme nous venons de le voir, des mémoires qu’il recèle ;

– la télomérase, enzyme responsable de la croissance de nos télomères. Cette enzyme devient inactive dans les jours qui précèdent notre venue au monde. Cela a pour conséquence immédiate que, chaque fois qu’une cellule se duplique, les nouvelles cellules qui en résultent ont perdu une parcelle de la longueur de leurs télomères. Au fur et à mesure de ce raccourcissement, le risque d’erreurs de copie s’accroît. Or Le chercheur Leonard Hayflick a mis en évidence la limite qui lui a donné son nom, à savoir que chaque cellule ne peut théoriquement se diviser que 52 fois. Il s’ensuit, toujours en théorie, que la course contre cet inexorable chronomètre commence dès notre naissance. Les premiers signes visibles de cette détérioration sont, pour ne citer que quelques exemples, les cheveux blancs (ce sont vos kératinocytes qui commencent à dépérir), les rides (les cellules de votre peau, à leur tour, se dégradent), ou encore des trous demémoire de plus en plus fréquents (ce sont vos neurones qui disparaissent). Lorsqu’une cellule est endommagée du fait de la multiplication des erreurs, elle se suicide (apoptose) ou prolifère de façon anarchique (c’est notamment ainsi qu’apparaissent les cellules cancéreuses). Notre système immunitaire est conçu pour éliminer les cellules devenues « folles » dès lors qu’elles commencent à adopter un comportement anormal. Toutefois, lorsque le système immunitaire lui-même est défaillant ou dépassé par la multiplication de ces aberrations génétiques, le terrain devient propice à l’apparition d’un cancer. Les causes du vieillissement et celles du cancer sont donc, sauf bien sûr dans les cas très particuliers de cancer chez des enfants, sensiblement les mêmes. La découverte de ce rôle protecteur des télomères et de la télomérase a d’ailleurs valu en 2009 à trois médecins américains, Elizabeth Blackburn, Carol Greider et Jack Szostak, le prix Nobel de médecine et de physiologie venu récompenser leurs travaux qui allaient révolutionner la façon dont la recherche scientifique abordera désormais ces deux phénomènes qui n’ont nullement pour origine une usure de nos cellules, mais le raccourcissement progressif de nos télomères. Conclusion tout aussi simple que logique, pour avancer en âge tout en gardant un organisme jeune et en bonne santé, il faudrait pouvoir agir sur la longueur de nos télomères. Oui mais voilà… comment faire pour gagner ne serait-ce que dix années de vie en bonne santé, lorsque la production de télomérase est devenue quasi inexistante ou au maximum, réduite à la portion congrue depuis que vous habitez ce corps terrestre ?

C’est en travaillant sur un micro-organisme unicellulaire appelé le Tetrahymena qu’Elizabeth Blackburn dont le nom est évoqué plus haut, acquiert avant tout le monde l’intime conviction d’une corrélation étroite entre taille des télomères et espérance de vie. Alors, quelle n’est pas sa surprise lorsqu’en entrant dans son laboratoire, un beau matin de 1978, elle découvre des Tetrahymena ont des télomères qui… s’allongent, permettant à leurs cellules de vieillir plus lentement que les autres ! C’est un terrain d’exploration gigantesque qui s’ouvre devant ses microscopes, un univers fabuleux dont personne à ce jour n’avait encore soupçonné l’existence. Au bout de huit ans de persévérance sans relâche, elle trouve enfin un nom à mettre sur la clé du mystère: c’est la télomérase, cette enzyme jusqu’alors inconnue de la communauté scientifique, qui préserve les télomères des Tetrahymena.

Tout ça, c’est bien joli… mais des crustacés à Homo Sapiens Sapiens, il y a une marge, et elle n’est pas petite ! Car comme on l’a vu précédemment, peu avant l’accouchement, les cellules humaines qui jusqu’alors fabriquaient de la télomérase, se mettent en mode veille… or notre organisme, lui, continue à avoir besoin de cette précieuse enzyme, un besoin qui va crescendo puisque les télomères raccourcissent à un rythme qui s’accélère, rendant de plus en plus nombreuses les redoutables erreurs de copie responsables du vieillissement et des cancers. pendant ce temps-là, la télomérase demeure désespérément enfermée dans nos cellules qui ne savent pas en produire davantage, croyait-on naguère encore… mais ça, c’était avant ! Des études scientifiques très sérieuses ont démontré que certains comportements bénéfiques permettraient de remettre en marche la production de télomérase ! Résultat : les télomères se mettent à raccourcir beaucoup moins vite, limitant le nombre d’erreurs de réplication du matériel génétique et augmentant considérablement la longévité des cellules, et par conséquent, de l’organisme qu’elles constituent.

– L’Hormone de Croissance: La HGH aussi appelée hormone somatotropine stimule la croissance de l’enfant, les processus d’auto-régénération des tissus (cicatrisation, auto-guérison etc.) et la reproduction de l’espèce humaine.

– Les cellules souches, quant à elles, sont une sorte de dispositif médical miniaturisé qui assure le renouvellement cellulaire en créant, selon les besoins du corps, des cellules différenciées correspondant à chacun de nos organes (peau, foie, reins etc.), remplaçant ainsi celles qui meurent jour après jour.

L’Épigénétique étudie la manière dont certains facteurs tels que l’environnement, les chocs émotionnels et traumatismes psychiques peuvent modifier de façon importante l’expression de certains gènes sans que l’on constate une quelconque altération de la séquence ADN.

C’est ainsi que, comme l’indique cet article, deux récentes études ont établi un lien entre le contexte familial dans lequel un enfant grandit et la longueur des télomères. Un résultat qui fait écho à une étude britannique menée en 2017, dans laquelle les chercheurs avaient observé des différences au niveau de « l’âge épigénétique » (vieillissement des tissus) en fonction du niveau de détresse infantile (prise de conscience de sa fragilité, de son besoin de protection).

Au printemps 2019, une équipe de chercheurs a publié un rapport fondé sur les données de 38 études existantes sur le sujet. Ils ont ainsi établi des liens entre les expériences négatives de l’enfance, caractérisées par de potentiels événements traumatiques survenus dans l’enfance, et la longueur des télomères. Les résultats tirés de ces études semblent indiquer que les enfants ayant vécu le plus d’expériences négatives présentaient des télomères plus courts. Une étude américaine parue à l’été 2019 a également corroboré ces résultats. En analysant les données de 199 participants à 27 ans d’intervalle, les chercheurs sont arrivés à des conclusions équivalentes. Le facteur déterminant dans cette étude était le « style parental », à savoir le niveau d’attention porté à l’enfant. Les participants qui décrivaient des parents distants, voire négligents, avaient des télomères en moyenne 25 % plus courts. Ce phénomène était d’autant plus fréquent chez les enfants en surpoids ou n’ayant pas eu accès à des études supérieures.

Par ailleurs, de précédentes études réalisées avec des animaux, avaient montré le caractère essentiel du contact physique entre la mère et le nouveau-né pour le développement de ce dernier. Ces expériences avaient en outre permis de révéler des modifications génétiques au niveau de la méthylation de l’ADN (impliquée dans l’expression des gènes), du fait de ce contact postnatal.

Une équipe de chercheurs britanniques a réalisé une étude afin de voir si des constats similaires pouvaient être observés chez l’humain. Ils ont ainsi demandé à des jeunes parents de remplir un journal bien précis des attentions portées à leur nouveau-né. Près de cinq ans après, les chercheurs ont effectué des relevés chez ces enfants afin d’évaluer divers facteurs biologiques. Ils ont alors constaté, comme dans le cas des modèles animaux, des zones de méthylation d’ADN différentes selon que l’enfant avait eu beaucoup de câlins ou non.

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La bonne nouvelle, c’est que si l’expression des gènes peut être modifiée négativement par des blessures tant physiques que morales, elle peut aussi être modifiée favorablement par un milieu affectif épanouissant chez l’enfant comme chez l’adulte, et aussi, comme nous allons le voir plus loin, par une élévation du niveau vibratoire de l’ensemble de la personne, corps, âme et esprit. L’épigénétique apparaît donc ici comme un pont entre l’approche scientifique occidentale de la biologie et sa prise en compte par les méthodes faisant appel à l’énergie vitale universelle.

L’approche énergétique

Comme l’avait déjà bien compris Albert EINSTEIN, tout est énergie puisque tout dans l’Univers, notre corps y compris, est constitué d’atomes, c’est-à-dire de protons, d’électrons et de neutrons. Pour vivre, nos cellules ont besoin de lumière. Plus nos corps subtils reçoivent de lumière, plus une quantité importante d’énergie parvient jusqu’au corps physique, donc aux cellules, ce qui leur permet de déployer leurs capacités de réplication sans mutations ni altérations génétiques. Quand le taux vibratoire du corps physique diminue, celui-ci ne reçoit plus de la présence JE SUIS l’énergie suffisante. Le manque d’énergie provoque des mutations dans la réplication cellulaire, ce qui cause des anomalies génétiques aboutissant au vieillissement, à la maladie (cancer, maladies neuro-dégénératives telles que Parkinson ou Alzheimer, accidents cardio-vasculaires etc.) et finalement à la mort. Cette insuffisance de lumière a pour origine la densification des corps inférieurs où sont entreposées les mémoires de toutes les pensées, émotions, paroles et actions de notre vie présente et le cas échéant, de nos vies parallèles. Patrick Drouot, physicien et spiritualiste, a mis en évidence dans son livre Nous Sommes Tous Immortels, que chaque être humain est un diamant aux multiples facettes dont nos sens physiques ne permettent d’explorer qu’une seule, celle du moment présent. La Présence JE SUIS est la source même de la lumière divine en chaque être humain.

Au fil du temps, nous nous sommes identifiés au personnage historique que nous avons créé à partir de ces diverses mémoires, personnage dont nous avons adopté la fréquence vibratoire. Ce faisant, nous avons perdu de vue notre véritable nature, notre Essence qui est pleine conscience, pleine appréciation et pleine présence, ici appelée la Présence JE SUIS. Nnous nous sommes ainsi coupés de notre propre Source d’Énergie. C’est la raison pour laquelle nous vieillissons, développons toutes sortes de maladies et finissons par mourir.

En quoi ces deux approches de la biologie peuvent-elles se rejoindre ?

Ce qui unit ces deux angles d’approche de la biologie, c’est une prise de conscience qui leur est commune, celle de la nécessité de prendre soin de notre corps en le traitant comme un trésor de grand prix. Savants et maîtres spirituels de toutes traditions s’accordent pour affirmer que plus le bien être physique est grand, (nourriture saine, pratique d’une activité physique régulière, sommeil réparateur, méditation, relaxation etc.), plus grand sera aussi le bien être émotionnel, mental et psychique. Le cortisol, hormone du stress, est le pire ennemi des télomères, de l’hormone de croissance, des cellules et d’une bonne évolution épigénétique.

L’anxiété et les autres effets négatifs du stress proviennent tout à la fois de notre mode de vie et de nos mémoires que nous pouvons qualifier de familiales, ancestrales ou karmiques, selon les convictions et la sensibilité de chacun.

Pour parvenir au rajeunissement de nos cellules, nous avons besoin de mettre en œuvre ces deux approches respectivement proposée par la médecine conventionnelle et la spiritualité. Pour obtenir ce rajeunissement de l’ensemble des fonctions biologiques, il est important de comprendre ce qu’est le corps énergétique, quel en est le rôle, en quoi il a un rapport direct avec la maladie mais aussi, et c’est bien là la bonne nouvelle, avec la possibilité d’entrer dans un processus vertueux de réparation qui consiste à transmuter, guérir et harmoniser le corps énergétique.

Le protocole de rajeunissement cellulaire mis au point et enseigné par Gabriela gomez se fonde sur des instructions précises données aux cellules et sur des fréquences spécifiques qui seront utilisées pour leur envoyer des messages quantiques dans un langage, en l’occurrence celui de la musique, que leur intelligence intuitive est capable de comprendre.

Les fréquences utilisées s’inscrivent dans la logique des recherches en biologie moléculaire de Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, qui a utilisé des ondes à basse fréquence sur la molécule ADN et est parvenu ainsi à téléporter de l’information génétique.

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Vous aspirez à comprendre quelles sont les énergies que vous alimentez au cours de cette vie qui est la vôtre ? Vous cherchez quel sens ou quel objectif donner à votre existence et quelle est votre place dans ce monde ? Vous désirez avoir une conscience plus claire des conséquences de votre cheminement personnel sur la biologie, la santé et la vitalité de votre corps ? Oubliez tout ce qu’on vous a dit sur l’irréversibilité de la dégradation de vos cellules en général et de vos neurones en particulier. Le protocole BIOLOGIE QUANTIQUE®, module de Rajeunissement Cellulaire Vous apportera les outils nécessaires pour pouvoir transformer votre réalité par le biais d’une prise de conscience profonde de votre responsabilité totale (laquelle n’a rien à voir avec la culpabilité), en tant que co-créateur de votre vie.

Première séance : entre 90 et 120 minutes, 80€.
En fonction des points à travailler, deux séances d’environ une heure sont ensuite recommandées mais vous disposez de toute liberté d’arrêter le protocole Biologie Quantique® rajeunissement cellulaire quand vous le désirez. Si vous choisissez de suivre le protocole complet en trois séances, la dernière est à -50% (40€ au lieu de 80) soit 200€ en tout. Me contacter pour en savoir plus et prendre rendez-vous

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