L’étreinte devrait être prescrite par les médecins !

Le 20 février 2021

L’étreinte, voilà bien un sujet rendu tabou par la diffusion en continu dans tout l’espace public et médiatique de messages anxiogènes, un an après le début de cette véritable crise de civilisation qu’est devenue l’épidémie de covid 19. L’une des lignes directrices de ce site est d’inviter chacune et chacun à s’intéresser essentiellement au moment présent. Le moment présent de cet article, c’est un monde où deux camps semblent s’affronter, celui de la peur avec son cortège de mesures de sécurité (distance physique entre les personnes, solitude et repli sur soi, hésitation à aider les autres…), et celui de la révolte qui ressent comme inhumaine cette société où les gens ne se saluent plus, ne s’embrassent plus et dénoncent une nouvelle forme de paranoïa collective. le texte qui va suivre, écrit par un auteur inconnu et trouvé sur Facebook, apparaît ici comme une sorte de provocation puisqu’il suggère que l’étreinte, le câlin, l’embrassade devenue interdite, devrait au contraire être un instrument de guérison, un traitement des maux du corps et de l’esprit, prescrit par le corps médical lui-même ! Et pourquoi pas remboursé par la Sécurité Sociale, pendant qu’on y est? À ceci près que l’amour, ce guérisseur divin par excellence, ne saurait être enfermé dans quelque catégorie économique que ce soit.
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Alexandra et Anne, complices et souriantes

La généticienne Alexandra Henrion Caude ne dit pas autre chose lorsqu’elle met en évidence les ravages dont on ne mesure pas encore l’importance à l’heure où paraissent ces lignes, d’un monde où naissent des enfants qui ne connaissent que des visages uniformisés par le port du masque obligatoire, de jeunes qui ne savent plus se saluer qu’à coups de poing ou de coude, de grands-parents à qui l’on s’efforce de faire oublier jusqu’à la sensation même d’un baiser ou d’une étreinte de leurs petits-enfants… Un propos dont l’actualité, c’est-à-dire l’ancrage dans la réalité de l’instant présent, a de beaux jours devant elle même si’il est raisonnablement optimiste d’espérer voir prochainement la fin du tunnel, sur le plan sanitaire à tout le moins. c’est la raison pour laquelle j’assume le choix de partager avec toi cette heure faite de poésie et de science, de grands rires et de propos savants, d’appels graves à la conscience de chacun et de messages d’espoir avec pour fondement un amour sans bornes pour l’humanité et une grande hauteur spirituelle.

L’étreinte devrait être prescrite par les médecins !

L’ étreinte devrait être prescrite par les médecins car il y a un pouvoir de guérison dans l’étreinte que nous ne connaissons pas encore.
Les câlins guérissent la haine,
L’ étreinte guérit les ressentiments,
« L’ étreinte guérit le courage et les malentendus
L’ étreinte guérit la fatigue et guérit la tristesse.

Quand on embrasse, on lâche des amarres, on perd en quelques instants les choses qui nous ont fait perdre notre calme,
L’ étreinte nous donne la paix dans l’âme
Quand nous embrassons, nous arrêtons d’être sur la défensive et laissons l’autre approcher de notre cœur, les bras s’ouvrent et les cœurs se blottissent
d’une manière unique…!

Il n’y a rien de tel qu’un câlin, un câlin de Je t’aime « , un câlin de Heureusement que tu es là « , un câlin de Aidez-moi « …! Un câlin de À bientôt « , un câlin de Pardonnez-moi et de Je te pardonne « , un câlin de à quel point tu m’as manqué « , Câlins…

Quand nous embrassons, nous sommes plus de deux, nous sommes de la famille !,
Nous sommes accessibles, nous sommes des rêves possibles…!

L’ étreinte devrait, oui, être prescrite par les médecins, car elle rajeunit l’âme et le corps. (…)

L’amour des mots
Et si on se traitait avec Gratitude, Douceur et Tendresse ?

(Auteur inconnu)

Retrouver ce texte sur la page Facebook des éditions À Tout Cœur
Pour aller plus loin, Câlin, tout sur les mille et une vertus de la tendresse !

Une réflexion sur « L’étreinte devrait être prescrite par les médecins ! »

  1. Marie-Christine

    Oh que voilà un thème qui me parle !
    Merci, Anne, de m’avoir fait découvrir ce texte. Je dois dire que j’aime beaucoup « Quand nous nous embrassons, nous sommes plus de deux, nous sommes de la famille ».
    L’urgence, c’est bien cela, en effet, se sentir « de la famille ». Révolutionnaire, je vous dis !
    Marie-Christine

    Répondre

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