Archives de catégorie : Guérison et auto-guérison dans tous leurs états

Quelques lectures sur les thématiques du soin, de la guérison et de l’auto-guérison

Câlin et guérison : L’incroyable eficacité d’un câlin

Le 20 juin 2015

Il n’existe pas de meilleur calmant que le câlin qui vous éloigne des peurs

Qu’est-ce que c’est agréable de sentir un câlin qui nous remplit de la tête aux pieds, qui allume notre lumière intérieure, qui nous fait fermer les yeux, nous sentir sur un nuage et qui nous comble au plus profond de notre être.

Un câlin est un geste qui brise les peurs, qui recompose, qui construit du lien, qui détend et qui aide à conserver le calme.

Les câlins qui réparent et soulagent les peurs

Commençons par parler de ces câlins qui ont la capacité de résoudre les problèmes sans avoir besoin de mots.

Vous avez sûrement déjà vécu ce genre de câlin, après une dispute avec vos enfants ou votre conjoint, au moment où vous ne savez plus quoi vous dire.

Souvent, de nombreuses différences surgissent dans le quotidien et les mots se chargent de tension.

Nous arrivons alors à un point où l’esprit ne peut plus penser, mais il reste les sensations, l’amour que nous portons à cette personne et la douleur de
ne pas réussir à trouver une solution.

Un geste aussi simple qu’un câlin permet de faire tomber immédiatement toute tension, et toute sensation de stress et de désespoir. Soudain, tout s’emboîte: les corps, les émotions et les affects.

Dans les relations de couple, il est très courant de passer par des moments de doutes, de peurs et d’inquiétudes.

• Il y a des moments où la relation de couple tombe dans la routine et d’une certaine manière, nous perdons la magie d’antan. C’est à ce moment-là qu’apparaissent
les doutes.
• Nous commençons à avoir peur, nous nous demandons si notre conjoint nous aime toujours, s’il nous désire toujours et si la relation va continuer à être
aussi forte qu’avant.
• C’est ici qu’intervient le besoin de montrer de l’authenticité. Il y a des jours où il ne suffit pas que « Tout aille bien ». Ces jours-là, nous ne voulons
pas de mots mais nous voulons des actes, et pour cela, rien de mieux qu’un long et silencieux câlin.

Quand on nous donne des câlins, nous devons savoir qu’ils sont authentiques, sincères et réels. C’est là que les peurs s’évanouissent, que l’univers entier
disparaît et que plus rien n’a d’importance.
La chaleur que l’on transmet à travers un câlin est comparable à la chaleur d’un foyer car on sent qu’on est à la maison, une maison faite de chair et d’os.

Un câlin, meilleur médicament pour les douleurs de l’âme

Quoi qu’il nous arrive, sentir la chaleur de quelqu’un que nous apprécions à travers un câlin est essentiel pour notre guérison et notre bien-être lorsqu’on
traverse une mauvaise passe. Quelque chose de très simple, mais compliqué à la fois.

Un petit câlin peut sécher beaucoup de larmes, un petit mot plein d’amour peut nous remplir de bonheur et un petit sourire peut changer le monde.

Ce sont de petites choses grâce auxquelles se construit notre monde car elles le remplissent de paix et d’amour…

Le câlin est un super pouvoir que nous possédons tous, un grand remède de guérison pour les douleurs d’une âme brisée par une réalité difficile, par une tromperie, une trahison ou un abandon.

C’est pour cela que dans la mesure du possible, nous devons faire usage du meilleur anxiolytique à notre portée, un délice d’amour, une conjuration, une rencontre entre deux corps qui s’offrent de la tendresse, de la compagnie et de la chaleur.

Les câlins qui brisent toutes nos peurs

Il y a une vérité dans laquelle deux âmes se lient et s’offrent de la sécurité pour faire face aux obstacles, pour promouvoir une grande force face à la
vie, pour fonder les bases solides de nos sourires.

Ces câlins qui nous aident à faire face à l’adversité, qui nous éloignent de la solitude et qui nous remplissent de joie.

Ces grandes embrassades qui se donnent avec tant de force qu’elles semblent nous briser alors qu’elles nous recomposent.

Sans aucun doute, le câlin est une connexion spéciale qui stoppe le temps et redonne l’harmonie, qui transmet un message qui assainit, qui est la meilleure thérapie pour rénover les sentiments, calmer les émotions et communiquer avec les autres et nous-même.

Fondre nos corps dans un câlin nous aide à être plus patient, à nous détendre et à nous sentir aimé, ce qui contribue au renforcement de l’estime de soi, de l’amour propre et de notre capacité à résister face à la difficulté et aux peurs.

Prenez-vous dans les bras, c’est indispensable pour survivre

Avez-vous déjà soulagé vos tristesses grâce à un câlin ? Il vous a apporté de la chaleur ? Vous êtes-vous félicités de vos réussites en vous prenant dans vos bras ?

Ce câlin intime et propre est indispensable pour être bien nourri, pour faire tomber nos carapaces, pour nous éloigner du froid et pour travailler l’art de l’amour propre qui nous rapproche de l’authenticité.

À travers ces câlins, nous nous ouvrons à nous-même, nous nous lions avec l’extérieur de l’intérieur et nous sommes capables de nous émouvoir. C’est simple, si vous prenez dans vos bras, vous prenez votre vie dans vos bras. Ainsi, on pourrait dire que si on prend ceux qu’on aime dans nos bras et qu’eux nous prennent dans leurs bras, nous sentons de la reconnaissance.

C’est la base de notre construction, nous câliner pour libérer nos émotions et nous rapprocher des belles choses de la vie.

Car grâce au costume du câlin, nous nous protégeons de l’amour faux, de la dépendance, de l’idéalisation excessive et de tout ce qui nous appauvrit, nous fragilise et altère notre courage et notre bonté.

Un câlin qui éloigne les tristesses du corps

À de nombreux moments de notre vie, les câlins sont ce que fait la différence. Mieux vaut ne pas poser de question aux yeux tristes, car c’est juste un câlin dont ils ont besoin.

Quand une personne va mourir, elle ne regrette pas d’avoir été autant prise dans ses bras, d’avoir elle-même pris dans ses bras, d’avoir aimé et d’avoir transmis de l’énergie et de la tendresse.

À ces moments, nous regretterons peut-être d’avoir négligé les personnes que nous aimons, d’avoir tant travaillé et de ne pas avoir offert de démonstrations d’affection et de tendresse chaque jour.

C’est une grande leçon, il faut se câliner plus, car ce sont des moments nécessaires, ce sont les vitamines qui nous donnent de l’énergie, au corps et
à l’esprit. C’est quelque chose que nous ne regretterons jamais.

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Pourquoi le câlin est-il indispensable à notre équilibre ?

Entretien du site Psychologie Magazine avec Céline Rivière sur la nécessité et les bienfaits du câlin

Pourquoi un câlin nous fait-il du bien ?

Céline Rivière : La première raison, c’est qu’un câlin va libérer une hormone : l’ocytocine. On l’appelle hormone de l’attachement, ou hormone du bonheur.
Cela se produit dès que l’on prend dans ses bras, ou que l’on est pris dans les bras de quelqu’un pendant au moins vingt secondes. Produite par le cerveau,
elle a un effet d’apaisement et engendre une sensation de bien-être immédiat. Elle fonctionne lorsque l’on est en état de calme et de plénitude. C’est
bien évidemment le cas lors d’un câlin, mais cela peut aussi se produire lorsque vous êtes allongé sur une plage au soleil ou quand vous méditez. C’est l’antagoniste de l’hormone du stress, la cortisone. Mais ce n’est pas seulement une question hormonale. Les câlins nous font du bien car ils nous renvoient au tout petit enfant que nous étions. Celui qui est câliné, pris dans les bras de quelqu’un, en sécurité. Et lorsqu’une personne nous adresse un geste assimilable à de la bienveillance et à de l’amour, on est envahi par un sentiment de bien-être.

À découvrir

Pour aller plus loin, retrouvez aux éditions Michalon le livre de Céline Rivière sur
la câlinothérapie : une introduction à la thérapie par les câlins. 

Que disent les recherches en neuroscience ?

Céline Rivière : Elles éclairent le rôle des neurones miroir. Quand l’autre en face de nous réalise une action, cela éveille la même chose en nous au niveau de notre activité neuronale. Par exemple, si je vois quelqu’un se gratter ou bailler, je vais avoir envie de faire pareil. De la même manière, si je voisquelqu’un arriver vers moi pour me prendre dans ses bras, je vais ressentir quelque chose de l’ordre de la bienveillance, du positif. Je serai en confiance. Au niveau de la peau, les corpuscules tactiles – des petits récepteurs – nous permettent d’envoyer un message au cœur pour lui indiquer le bien-être que l’on ressent lorsque l’on est touché. On se sent alors beaucoup plus apaisé. 

Qu’est-ce que l’on entend exactement par câlin ?

Céline Rivière : Un câlin, c’est prendre complètement l’autre dans ses bras. Cela n’a absolument rien de sexuel. C’est se mettre contre l’autre, dans sa chaleur, contre son cœur. 

Les câlins favorisent-ils les liens sociaux et sont-ils efficaces face au stress ?

Céline Rivière : Exactement. Lorsque l’ocytocine est activée, on va beaucoup plus vers l’autre, on a moins peur. On se sent moins seul aussi, être touché c’est ne pas être seul. C’est le cas avec les Free Hugs. Même si la durée du câlin ne dure qu’un court instant, pendant ce temps-là, on se sent reconnecté à quelqu’un. C’est ainsi un antidépresseur naturel.

Pourquoi est-ce si difficile, dans notre société, de prendre quelqu’un dans ses bras?

Céline Rivière : Parce que l’on a peur de sa réaction. Ce n’est jamais facile d’aller vers l’autre, on a toujours l’impression qu’il peut nous rejeter. Or, être rejeté, c’est ce qu’il y a de pire. C’est pour cela qu’il est parfois plus facile de câliner un animal. On ne craint pas qu’il puisse le faire. Et si au bout d’un moment ils s’en vont, c’est notamment le cas avec les chats, nous ne pensons pas que c’est grave. Ce n’est pas parce qu’ils nous jugent, mais seulement parce qu’ils en ont reçus suffisamment.

Que l’on fasse ou que l’on reçoive un câlin : le fonctionnement est le même ?

Céline Rivière : Oui, parce que l’on est dans le partage, dans l’échange. Quand on donne un câlin, on reçoit de l’autre. 

Est-il vrai que ce simple geste a un effet sur le système immunitaire ?

Céline Rivière : Oui, une étude a été menée par une équipe de chercheurs américains de l’Université Carnegie Mellon à Pittsburgh. Elle a révélé que l’on est moins enrhumé, moins touché par la grippe et tous ces petits virus qui s’attrapent en hiver, lorsque l’on est touché, câliné. 

Et face à certaines maladies, telles que l’autisme ?

Céline Rivière : Les autistes ont un problème avec le toucher et le regard. Pour rééduquer  cela, on peut notamment passer par les animaux, car le contact est souvent beaucoup plus facile qu’avec les humains. Cet échange va produire l’ocytocine. On le fait beaucoup avec des chevaux ou des chats car ce sont
des animaux qui ne cherchent pas le regard, contrairement à nous. Ils en savent beaucoup plus que nous sur la manière de se comporter avec les autistes. Chez eux, c’est instinctif. 

Câliner un proche ou un inconnu procure-t-il les mêmes bienfaits ?

Céline Rivière : Pas les mêmes, mais dans tous les cas on en tire des bénéfices. Avec les Free Hugs, on partage l’idée selon laquelle on va être dans un état de bienveillance. C’est un câlin qui va englober l’autre. Mais on peut se sentir bien dans les bras de quelqu’un et pas dans ceux d’un autre. L’échange fonctionne au niveau des énergies de chacun. Quelque part, il y a un côté magique que l’on n’explique pas…

Les câlins sont-ils indispensables ?

Céline Rivière : Ils le sont dès les premières secondes de la vie. D’ailleurs, dans les unités de prématurés, on s’est rendu compte que les enfants prennent
50% de poids en plus lorsqu’ils sont touchés. C’est pour cela que maintenant, on va tout de suite mettre le bébé qui vient de naître en peau à peau avec sa maman. C’est ce qui permet d’établir le contact. 

Pour obtenir des bénéfices réguliers, à quelle fréquence devrions-nous faire des câlins ?

Céline Rivière : Tous les jours. Pour un enfant, cela ne semble pas énorme, contrairement à l’adulte qui a grandi avec des peurs et qui craint d’être rejeté. Cela ne signifie pas pour autant que l’on n’a pas envie d’en donner et d’en recevoir, c’est juste que la plupart du temps on n’ose pas. Il nous faut briser ce tabou et ouvrir des barrières. Autre point, il faut savoir que le câlin doit durer au moins vingt secondes pour pouvoir libérer l’ocytocine. Et comme il dure en moyenne trois ou quatre secondes chez l’adulte, on va multiplier les câlins. Cinq par jour ce serait idéal.

Quels conseils en tirer dans notre vie quotidienne, familiale, amoureuse ?

Céline Rivière : Au fond, plus on touche mieux on est. Il existe une corrélation entre le nombre de câlins que l’on donne et reçoit chaque jour, et la longévité des couples. Donc, si vous voulez avoir une relation qui dure et qui soit dans la sérénité, il faut se toucher. C’est la même chose avec les enfants : plus tôt on leur fait des câlins, plus ils se sentent en sécurité. En plus cela favorise leur apprentissage. Pour eux comme pour nous, plus on se sent en sécurité, plus on est disponible pour laisser notre intelligence s’exprimer, apprendre et comprendre. 

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Tout le monde n’aime pas forcément les câlins. Pour certaines personnes, ce geste n’est pas naturel, alors elles marquent de la distance. Vous êtes concerné ?

Je ne suis pas câlin

« J’adore mes enfants, affirme Sophie, 37 ans, photographe. Mais je ne sais pas les prendre dans mes bras, ou les cajoler gratuitement. Ces gestes ne sont pas naturels chez moi. Et je m’en veux d’être aussi froide.  »  A l’heure où l’on prône les vertus du « peau-à-peau », il n’est pas facile de porter fièrement sa pudeur. « Notre société valorise et encourage le contact, reconnaît Laurie Hawkes, psychologue et psychopraticienne. Nous devons être tendres, chaleureux, décomplexés… L’introversion est vite jugée dysfonctionnelle. » Pour autant, les
marques d’affection sont-elles nécessaires ? « L’échange est fon- damental à notre équilibre, admet la psychanalyste Dominique Devedeux. Le toucher est
structurant pour l’individu,qui y puise sa sécurité affective. Mais des résistances peuvent bloquer notre désir d’aller vers l’autre. »

Je reproduis ce que je connais

Laurie Hawkes constate que,dans certaines familles, «l’émotion, l’affect, voire le corps, sont mis à distance. Ce qui est ressenti est gardé pour soi ».
Or, nous avons tous tendance à marcher sur des sentiers battus. « Inconsciemment, il est bien plus sécurisant de reproduire ce que nous avons vu et expérimenté,
enfant », poursuit Dominique Devedeux. Notre mère ne nous embrassait jamais ? Sa réserve ayant été érigée en norme, comment désormais couvrir l’autre de
baisers ? Nos parents étaient distants ? Vingt ans plus tard, nous voilà emmurés dans ce même schéma conjugal. « L’inconscient est paresseux ! sourit la
psychanalyste. Automatiquement, l’individu calque son comportement sur celui dont il sait comment il fonctionne. »

Je m’autocensure

Ce n’est pas le désir de rendre tangible l’amour qui fait défaut, « car nous avons tous en nous cet élan », précise Dominique Devedeux. Laurie Hawkes rappelle que « tout petit, l’enfant produit des gestes spontanés, selon Winnicott. Naturellement, il cherche le contact avec sa mère – ou toute autre figure maternante. Si ce besoin n’est pas accueilli et accepté, alors le geste est interrompu. Le bébé a honte d’avoir ressenti un tel désir, comme si celui-ci n’était pas bon ou digne, puis il “gèle” son corps ». Des expériences malheureuses et répétées inhibent notre spontanéité. Pour Dominique Devedeux, « nous nous défendons d’exprimer notre amour et justifions notre réserve par des “Je ne sais pas comment faire”, “Quand on n’a rien reçu, on n’a rien à donner”, ou encore “Ce n’est pas moi”. Ces croyances nous installent dans l’austérité ».

J’ai peur de l’autre

Mais derrière ces bons prétextes se cache la peur d’éprouver à nouveau de la honte. « Nous craignons et anticipons la réaction de l’autre, son rejet, sa
moquerie, son embarras, explique la psychanalyste. L’autre, cet éternel inconnu, représente une menace. » Dont il faut rester à l’écart ! À moins de trouver
un être inoffensif, innocent ? « Certains introvertis s’autorisent une proximité physique avec un nouveau-né ou même… un animal ! remarque Laurie Hawkes.
Parce que celui-ci n’est pas un danger. » Mais dès lors que l’enfant grandit ou que c’est un adulte qu’il nous faudrait dorloter, le passé resurgit et
tout notre corps, notre cœur, notre esprit, nous dit!: « N’y va pas, souviens-toi, tu vas te brûler les doigts. »

Que faire ?
À découvrir
À lire

La Force des introvertis de Laurie Hawkes. La psychologue et psychopraticienne se penche avec bienveillance sur ceux qui ont besoin de solitude pour se
ressourcer, et leur propose d’explorer leur richesse intérieure. Une déculpabilisation de l’introversion à l’heure où l’exubérance fait loi (Eyrolles, 2013).

Prendre le risque de la rencontre

Dominique Devedeux, psychanalyste, suggère d’oser : « Puisque, naturellement, le désir d’aller vers l’autre demeure intact, peut-être pouvez-vous essayer
d’aller au-delà de vos résistances et, au lieu d’étouffer la pulsion, vous autoriser à l’écouter ? Pourquoi ne pas tenter, de temps en temps, un geste
? » Choisissez quelqu’un de confiance, dont vous savez l’amour irréfutable. Et voyez ce qu’il arrive ! Cette expérimentation peut vous suffire à vous rassurer
et apaiser vos anticipations du pire.

Danser !
« Il s’agit de réapprendre la proximité physique, analyse Laurie Hawkes, psychologue et psychopraticienne. Je propose souvent aux personnes très réservées
de se mettre à la danse. C’est une activité qui suppose d’être en lien avec son partenaire, mais qui demeure cadrée. Les règles, les consignes sont sécurisantes.
» À vous de trouver le rythme qui vous convient : salsa, tango, rock…

S’interroger en thérapie

Pour Laurie Hawkes, « si le blocage remonte à l’enfance, une thérapie peut aider la personne à explorer l’angoisse ». Ne vous tournez pas nécessairement vers une thérapie corporelle, qui pourrait vous faire peur et renforcer le symptôme. Vous pouvez aussi penser à libérer votre corps de sa tension interne
en optant pour des séances de relaxation, de méditation, de yoga. « Il s’agit de se faire du bien, de se faire plaisir, conclut Dominique Devedeux. Rester
en retrait, c’est se priver du sel de la vie. »

Source: Psychologie Magazine (nouvelle fenêtre)

Darshan : Anne dans les bras d'Amma, câlin

Darshan : : Anne dans les bras d’Amma

Dans le monde d’aujourd’hui, les hommes comme les femmes ont besoin de s’éveiller aux qualités maternelles. Les câlins d’Amma ont pour but de rendre les gens conscients de cette nécessité. (Amma)

Àdécouvrir, un portrait d’Amma réalisé en 2009 sur le site de l’INA

Question : Pourquoi le câlin est-il un outil thérapeutique incroyablement efficace ?

Osho :

« L’homme a besoin d’être un centre d’attention. C’est l’un des besoins les plus fondamentaux des êtres humains. Si on ne prend pas soin de lui, l’être humain meurt. S’il ne sent pas qu’il est important pour quelqu’un, au moins pour quelqu’un, toute sa vie devient insignifiante.

Aussi, l’amour est la plus grande thérapie qui soit. Le monde a besoin de thérapie parce que le monde manque d’amour. Dans un monde vraiment vivant d’amour,
aucune thérapie ne serait nécessaire, l’amour serait suffisant, plus que suffisant.

Le câlin est simplement un geste d’amour, de chaleur, d’affection. La sensation de chaleur qui se déverse de l’autre personne fait dissoudre de nombreuses
maladies en vous, fait fondre l’ego froid comme de la glace. Cela vous fait retrouver l’enfance.

De nos jours, les psychologues sont bien conscients du fait que si un enfant n’est pas étreint, embrassé, il va manquer d’une certaine nourriture. Tout
comme le corps a besoin d’aliments, l’âme a besoin d’amour. Vous pouvez satisfaire à tous les besoins matériels de l’enfant, lui donner tous le confort
matériel, si les câlins manquent, l’enfant ne deviendra pas un être en pleine santé. Au fond de lui, il restera triste, ignoré, négligé, abandonné. Il
aura reçu de bons soins, mais il n’aura pas été materné.

Il a été observé que si un enfant ne reçoit pas de câlins, il commence à se replier sur lui-même — il peut même en mourir — bien que tout le reste soit
à sa disposition. Sur le plan corporel, il reçoit tous les soins, mais aucun amour n’entoure l’enfant. Il devient esseulé, il devient déconnecté de l’existence.

L’amour est notre connexion, l’amour est notre racine. Tout comme vous respirez — pour le corps, c’est absolument essentiel : arrêter de respirer et vous
n’existez plus — de la même manière, l’amour est le souffle intérieur. L’âme vit par l’amour.

L’analyse n’y parviendra pas. L’esprit et la clarification, la connaissance et l’érudition n’y parviendront pas. Vous pouvez savoir tout ce qu’il faut
savoir sur la thérapie, vous pouvez devenir un expert, si vous ne connaissez pas l’art d’aimer, vous restez uniquement à la surface du miracle de la thérapie.

(…) Le câlin est un simple geste d’unité — même le geste apporte une aide. Si ce geste est vrai — pas seulement un geste, mais votre cœur y est aussi présent
— il peut être un outil magique, il peut faire des miracles. Il peut transformer une situation dans son ensemble, instantanément… Le câlin est tout simplement
l’une des choses les plus importantes.

(…) Quand vous aimez une personne, la seule verbalisation n’est pas suffisante, les mots ne suffisent pas, quelque chose de plus substantiel est nécessaire,
les mots ne sont qu’abstraits. Vous devez faire quelque chose. Tenez la main, étreignez la personne, embrassez-la, prenez-la dans vos bras. Cela vous aidera
tous les deux — si vous pouvez vous fondre tous les deux dans l’embrassade, vous allez redevenir plus jeunes, plus frais, plus vivants. C’est tout le processus de la guérison.

L’analyse est la voie du mental, le câlin est la voie du cœur. Le mental est la cause de toutes les maladies et le cœur est la source de toute guérison. »

Merci à Pierre LEGAREC pour cet article.

Autoguérison, quand l’esprit guérit le corps

Le 16 mai 2015

Notre corps est plus sophistiqué que toutes les technologies au monde. Malheureusement, notre société, son marketing, ses discours sur la santé, sont tels qu’ils conduisent bien des individus à craindre leur propre corps, à manquer de confiance en ses capacités innées, et empêchent la stimulation de ses ressources naturelles.

Dès notre plus jeune âge, plein de chutes et de chocs physiques, nous avons pu observer que la plupart de nos blessures disparaissaient et/ou cicatrisaient en quelques jours. Nous nous guérissons nous-mêmes comme nous respirons sans y penser et nous vivons en permanence dans n environnement qui contient des poussières, bacilles et micro-organismes que notre corps sepoussent sans cesse. Nous pouvons dire que plusieurs fois dans notre vie nous avons été ou seront soumis à des virus et autres pourvoyeurs d’infections pour lequel notre corps est intervenu ou interviendra sans même que nous le sachions. L’autoguérison reste encore mal connue et peu utilisée en France, pourtant, les résultats sont là, confirmés par la science et par les patients. Prendre le temps de se soigner autrement, cela dépend des médecins, de la pharmaceutique, du gouvernement, des médias, mais également de chacun de nous.

Claire C.
Consulter la page source ici

Les capacités d’autoguérison et le médecin intérieur, la maladie est un non consentement…

Un jour, parcourant un magazine de santé, je suis tombée sur cette phrase : «…lorsque les patients parlent du « médecin intérieur », ils ne pensent qu’aux pouvoirs d’autoguérison de l’homme. Ce sont, par exemple, le système immunitaire, la cicatrisation, la consolidation de fractures, qui se réalisent toutes seules, sans notre consentement. » Cette phrase illustre la plus grande idée fausse que l’on puisse entretenir à propos de l’autoguérison et par la même occasion au sujet de la maladie.

Oui, les processus d’autoguérison se réalisent tous seuls mais certainement pas sans notre consentement ! Il n’y a pas de plus grande erreur que de croire que si, dans notre corps, une chose se réalise « toute seule » cela veut dire que c’est SANS notre consentement. C’est exactement l’inverse.
Les capacités d’autoguérison comme la défense de notre organisme contre les corps étrangers, la cicatrisation, la consolidation de fractures etc… qui s’effectuent au sein de notre corps sans notre attention, et non pas sans notre consentement, ne pourraient absolument pas se faire SANS celui-ci.
Le corps est biologiquement structuré pour la santé et le bien-être. Ses mécanismes pour le maintenir en santé permanente c’est-à-dire tous ces processus naturels d’auto-équilibrages continus et d’autoguérison sont un grand OUI à la Vie, un grand OUI à la vie telle qu’elle se présente à nous. L’autoguérison est donc une affirmation naturelle de la vie, de l’équilibre et de la santé. Si naturelle, si évidente, si intrinsèquement liée à la nature de chaque cellule de notre corps, que nous n’avons même pas besoin d’y porter attention. Ce n’est que lorsque la maladie survient que nous sommes déroutés parce que justement la maladie n’est pas un état naturel. Ce n’est que lorsque des symptômes se déclarent, qui n’auraient pas dû se manifester, d’où notre désarroi, que nous nous posons des questions. Que se passe-t-il ? Notre corps fonctionnait si bien avant, tout seul, sans que nous y portions attention.
C’est donc que quelque chose s’est arrêté. Mais quoi ? Les processus d’autoguérison justement, qui bien que nous n’y portions pas attention, bien qu’ils se réalisent tous seuls, ne le font pas sans notre consentement. La maladie c’est l’illustration de ce non consentement. Alors que notre corps est biologiquement structuré pour le bien-être et la santé, la maladie est
un non consentement à la vie telle qu’elle se présente à nous, c’est un non consentement à l’autoguérison naturelle du corps. La maladie est un refus, une désapprobation de la vie telle qu’elle se présente à nous. Nous ne sommes jamais malade par hasard et à y regarder de près nous trouverons, la plupart du temps, un lien avec une relation ou une situation déplaisante, une séparation, un deuil etc… Autrement dit une expérience de vie que nous n’acceptons pas ou que nous refusons d’intégrer. C’est bien compréhensible, il y a des expériences de vie extrêmement difficiles à vivre ou à intégrer ! C’est alors que nous luttons contre la vie, que nous voyons extérieur à nous mais qui est aussi celle-là même qui circule en nous. C’est alors que ce qui habituellement se passe avec notre consentement, l’autoguérison, ne se fait plus parce que justement nous ne consentons plus, nous refusons ce qui se passe dans notre vie et par extension la vie qui circule en nous.
Autrement dit nous ne sommes pas malades parce que tout d’un coup notre corps, « tout seul » et « sans notre consentement », se serait mis à mal fonctionner. nous sommes malades parce que nous avons refusé à notre corps son fonctionnement naturel. Ce fonctionnement merveilleux qui nous permet d’expérimenter
la vie pleinement sans nous inquiéter de quoi que ce soit comme nous l’avons tous fait enfant. (Période dans laquelle nous courions les plus grands dangers de contaminations microbiennes, de fractures, de plaies multiples etc… Mais que nous traversons pour la grande majorité d’entre nous sans encombre, dans la plus grande innocence, parce que nous ne sommes pas encore en conflit avec la vie qui circule en nous). Aucun d’entre nous ne demande à être malade. Aussi, la maladie nous semble vraiment se réaliser « toute seule », hors de tout contrôle de notre part et bien sûr « sans notre consentement ».

Qui demanderait à être malade ?
Mais ce n’est pas la maladie qui se réalise toute seule, bien que cela soit vraiment ce que nous avons l’impression de vivre, ce sont les processus d’autoguérison qui arrêtent de se mettre en œuvre. Parfois brutalement mais la plupart du temps lentement tant le corps est conçu pour la santé. C’est pour cette raison aussi qu’il nous semble que la maladie apparaît tout d’un coup parce que le corps a fait tout ce qu’il a pu pour maintenir son équilibre naturel et sa santé avant de « craquer » et
d’arrêter ces processus d’autoguérison qui ne peuvent se mettre en œuvre sans notre consentement. c’est la raison pour laquelle il n’est pas toujours facile de trouver le lien entre la maladie et la situation, la relation ou l’expérience de vie qui a déclenché le non consentement en nous.

Ce qu’il faut comprendre donc c’est qu’au cœur même de l’expérimentation de la maladie, les capacités d’autoguérison sont toujours présentes parce qu’elles sont intrinsèques à la constitution du corps humain et donc qu’elles sont toujours mobilisables. C’est parce que ces capacités d’autoguérison sont toujours disponibles que des malades atteints de maladies dites « incurables » ont fini par guérir au grand dam de leurs médecins. Ils ont su rétablir le « courant de vie » si je peux me permettre de m’exprimer ainsi et l’image est bien réelle, ce consentement à la Vie. Ainsi alors que dans l’état de santé tous ces processus se réalisent sans notre attention, ces malades qui se sont guéris de symptômes divers et variés y compris de ceux de maladies dites « incurables » ont su, volontairement et délibérément s’appuyer de nouveau sur les capacités d’autoguérison intrinsèques du corps.

Il n’est pas naturel d’être malade comme il n’est pas naturel de fumer des cigarettes. Mais chacun sait que d’arrêter de fumer des cigarettes, d’arrêter donc de se rendre malade avec quelque chose qui n’est pas naturel pour le corps, demande une décision consciente et un effort de volonté. C’est exactement
le même processus lorsque quelqu’un veut guérir et se guérir de symptômes qui n’auraient jamais dû se manifester parce que contraire à l’état naturel du corps. C’est LA grande différence entre une recherche de guérison qui consiste à « aller voir quelqu’un qui nous guérira» et « la guérison intérieure » encore appelée « le médecin intérieur ». Quand on va voir quelqu’un, médecin, praticien, guérisseur et autre personne prétendant détenir un pouvoir de nous guérir que nous n’aurions pas, l’effort de conscience et de volonté est réduit quasiment à zéro. En quelque sorte ce n’est pas nous qui devons faire les efforts nécessaires pour nous guérir, c’est le médecin, le praticien, le guérisseur qui doit faire l’effort à notre place ! N’est-ce pas que nous sommes très en colère si le médecin ou autre praticien n’arrive pas à nous guérir ou nous dit « je ne peux rien pour vous » ? Et cette colère elle-même n’illustre-t-elle pas à quel point nous nous sentons impuissant face à ce qui nous arrive ? Mais comment ne pas se sentir impuissant quand on donne son pouvoir, en l’occurrence ici son pouvoir de guérison, à autrui ? Que penseriez-vous de quelqu’un qui souhaiterait arrêter de fumer ou perdre du poids et qui dirait « je m’attends à ce que vous – pas moi, vous – fassiez les efforts à ma place pour que je ne fume plus, que je perde du poids…» ? Pour ces exemples tout le monde comprend l’inanité du raisonnement et de la demande. Pourtant il en est exactement de même pour ce qui consiste à dire « je m’attends à ce que vous – pas moi, vous – fassiez les efforts à ma place pour que je guérisse » le raisonnement, la demande et les attentes sont tout aussi… enfantines.
Le médecin intérieur, c’est le pouvoir de guérir que l’être lui-même détient sur son corps, et non plus ce pouvoir quasi mystique qu’on donne au médecin ou autre praticien, comme enfant nous attribuions des super pouvoirs à nos parents avant de nous rendre compte qu’ils ne sont que des êtres humains sans plus de pouvoirs que nous n’en avons nous-mêmes.

Le médecin intérieur, ce sont les capacités d’autoguérison du corps mais aussi les capacités d’apprentissage et de développement dont on oublie très souvent qu’elles en font partie. En effet, parce qu’elle n’est pas naturelle, la maladie nous amène à nous poser des questions. N’est-ce pas que c’est en se posant des questions que l’on va vers la découverte et la connaissance ? N’est-ce pas que sans questionnement il n’y a pas de développement ? N’est ce pas que
c’est de cette manière que l’humanité à progresser ? Ainsi s’appuyer sur son médecin intérieur c’est faire ce que personne d’autre ne peut faire à notre place dans ce processus de croissance qu’est la Vie et notre vie particulière, unique, spéciale, différente. C’est chercher et trouver nos réponses, c’est nous développer, c’est croître selon notre propre chemin, nos propres expériences, faciles ou difficiles, agréables ou désagréables, dans la santé ou dans la maladie, nos propres défis à relever. L’erreur qui est la plus souvent commise en ce qui concerne le médecin intérieur, les capacités d’autoguérison dont les capacités d’apprentissages et de développement
font partie, c’est de croire que cela veut dire ne compter que sur soi ou ne pas se faire aider ! Bien au contraire la maladie est en quelque sorte une obligation à s’ouvrir (pour passer du non consentement à la vie telle qu’elle se présente à nous, au consentement et à l’affirmation de la vie), elle peut, même, être pour certains l’apprentissage de se laisser aider justement. On est donc très loin de « ne compter que sur soi » et « ne pas se faire aider ».

S’appuyer sur son médecin intérieur veut dire de se mettre aux commandes de sa guérison. C’est s’ouvrir, c’est se faire aider mais dans un comportement actif et volontaire pas dans un comportement passif qui consiste à penser plus ou moins consciemment « je m’attends à ce que vous – pas moi, vous – fassiez
les efforts de conscience, de volonté, d’apprentissage et de développement nécessaire – pas moi, vous- pour me guérir » !

S’appuyer sur son médecin intérieur et sur ses capacités d’autoguérison veut dire que personne n’est mieux placé que nous pour savoir ce dont nous avons besoin pour guérir selon le rythme qui nous est approprié en tant qu’individu unique avec un corps unique caractérisé physiologiquement par un ADN unique.

Il n’y a pas 2 corps semblables ni 2 individus semblables c’est la raison pour laquelle chaque processus de guérison est absolument unique.

« Processus » parce que si nous considérons la maladie comme un non consentement à la vie telle qu’elle se présente à nous alors c’est un véritable chemin qu’il nous faut parcourir pour passer du non consentement au plein consentement à la Vie et à notre vie. Il ne s’agit plus là de prendre une pilule et d’enlever un symptôme mais de guérir au sens profond du terme c’est-à-dire de retrouver son état naturel de santé, de bien-être et de liberté mais d’une liberté accrue, d’une conscience plus grande de soi, des autres et de la Vie. Et d’une fierté aussi.
Celle d’avoir réussi à relever le défi que notre vie nous conviait à relever, que cela soit dans la maladie ou le bien-être importe peu finalement, parce qu’au bout du tunnel de la guérison il n’y a rien de plus beau à re-connaître et à vivre que cette re-naissance consciente, délibérée, volontaire à soi et à la Vie qui circule en nous. Rien de plus beau que ce OUI merveilleux que l’on offre de nouveau à la Vie. Rien de plus bon à ressentir que cet Amour qui de nouveau emplit alors chaque cellule de son corps. Ce consentement plein, enthousiaste, innocent que nous vivions enfant mais cette fois-ci en toute conscience. Le corps a joué son rôle. Et nous pouvons être fiers de nous.

En matière de maladie et de guérison, l’erreur très fréquente consiste à croire et par là à attendre d’être guéri(e) pour reprendre « le cours de sa vie « normale » ». Notre vie ne s’arrête pas parce que nous sommes malades. Nous expérimentons la maladie dans cette période de notre vie, c’est tout. Et
c’est en faisant face aux défis que notre vie nous convie à relever, là, ici et maintenant, en même temps que nous expérimentons la maladie, que nous sommes pleinement dans notre processus de guérison. La maladie n’aura été qu’un aiguillon pour faire ce que nous remettions à plus tard : vivre notre
vraie vie maintenant.

Le médecin intérieur c’est votre Ame qui vous guide dans votre ré-unification, dans votre ré-union, dans votre réconciliation avec votre vie et avec la Vie.

Rappelez-vous toujours que vous êtes aimés.

Chantal ATTIA, bioénergéticienne et thérapeute en pychologie transpersonnelle

Ce texte fait partie du livre Rappelle-toi que tu as une Âme.

Prendre soin du corps, entretenir le véhicule de notre âme

La maladie est un avertissement qui nous est donné pour nous rappeler à l’essentiel

(proverbe tibétain)

ECKHART TOLLE : COMMENT RENFORCER LE SYSTÈME IMMUNITAIRE ?

Lorsque vous « habitez » votre corps, vous avez l’avantage additionnel de voir votre système immunitaire grandement renforcé. Plus vous amenez de conscience dans le corps, plus le système immunitaire se renforce. Comme si chacune de vos cellules s’éveillait et se réjouissait. Le corps adore l’attention que vous lui accordez. C’est là une très puissante forme d’autoguérison.

La plupart des maladies s’immiscent en vous quand vous n’êtes pas dans votre corps. Si le maître est absent de la maison, toutes sortes de personnages louches viendront y squatter. Si vous habitez votre corps, les invités indésirables auront de la difficulté à y entrer.

Et ce n’est pas seulement votre système immunitaire corporel qui se trouve renforcé : le système immunitaire psychique l’est également beaucoup. Ce dernier vous protège des champs magnétiques négatifs des autres (sur les plans mental et émotionnel) qui sont très contagieux.

Quand vous habitez bien votre corps, c’est l’élévation de la fréquence vibratoire de tout votre champ énergétique qui vous protège et non pas l’érection d’un bouclier. Ainsi, tout ce qui vibre à une fréquence inférieure, qu’il s’agisse de la peur, de la colère, de la dépression, etc., existe dorénavant dans ce qui est virtuellement un autre ordre de réalité. Tout cela n’entre plus dans votre champ de conscience ou, si cela y entre, vous n’avez plus besoin d’y résister, car cela passe à travers vous. S’il vous plaît, ne prenez pas ce que je vous dis pour monnaie sonnante. Vérifiez-le.

Il existe une méditation simple mais puissante d’autoguérison que vous pouvez faire à tout moment, quand vous sentez le besoin de renforcer votre système immunitaire. Elle s’avère particulièrement efficace si vous la pratiquez quand vous sentez les premiers symptômes d’une maladie.

Mais elle fonctionne également dans le cas de maladies déjà installées si vous vous y adonnez à intervalles réguliers et avec intensité. Elle viendra aussi neutraliser toute perturbation occasionnée à votre champ énergétique par une quelconque forme de négativité. Cela ne remplace cependant pas la pratique, instant après instant, de la présence au corps. Sinon, cette méditation n’aura que des effets temporaires. La voici.

Quand vous avez quelques minutes de libre, particulièrement le soir juste avant de vous endormir et le matin juste après vous être réveillé et avant de vous lever, inondez votre corps de conscience. Fermez les yeux. Étendez-vous à plat dos. Choisissez différentes parties de votre corps pour tout d’abord y centrer brièvement votre attention : les mains, les pieds, les bras, les jambes, l’abdomen, la poitrine, la tête, etc. Aussi intensément que vous le pouvez, sentez d’abord l’énergie vitale dans ces parties du corps, en restant environ quinze secondes sur chacune d’elles. Puis, laissez votre attention parcourir à quelques reprises tout votre corps à la manière d’une vague, des pieds à la tête, et vice-versa. Cela ne prendra qu’une minute environ.

Sentez ensuite votre corps énergétique dans sa totalité, comme un champ énergétique unique. Maintenez votre attention sur cette sensation durant quelques minutes. Pendant toute la durée de l’exercice, soyez intensément présent dans chaque cellule de votre corps. Ne vous inquiétez pas si le mental réussit de temps en temps à attirer votre attention sur autre chose que le corps et si vous vous perdez un peu dans vos pensées. Dès que vous le remarquez, dirigez de nouveau votre attention sur le corps énergétique.

Eckhart Tolle
Extrait du livre : Le pouvoir du moment présent – guide d’éveil
À lire aussi : Le corps a ses raisons

Nous les femmes… on se soigne bien !

Le 27 avril 2015

Femmes, mes cher(es) ami(e)s, lisez attentivement le texte qui suit, c’est très encourageant…

nous pourrons continuer nos bavardages dans la joie, et peut être pour certaines sans culpabilité…

Il y a bien du vrai :

L’une des conférences du cours du soir à Stanford, traitait du rapport entre le corps et l’esprit, de la relation du stress et de la maladie.
L’orateur (patron du département Psychiatrie à Stanford) a, entre autre, affirmé que l’une des meilleures choses que l’homme puisse faire pour sa santé est d’avoir une épouse alors que pour la femme, la meilleure des choses à faire pour être en bonne santé est d’entretenir ses relations avec ses amies.

Tout l’auditoire a éclaté de rire, mais il était sérieux.

Les femmes ont des relations différentes entre elles qui engendrent des systèmes de soutien grâce auxquels elles gèrent les différents stress et les difficultés de la vie.

Du point de vue physique, ces bons moments “entre filles” nous aident à produire plus de sérotonine – un neurotransmetteur qui aide à combattre la dépression et qui engendre une sensation de bien-être. Les femmes partagent leurs sentiments alors que les rapports amicaux entre hommes tournent souvent autour de leurs activités.

Il est très rare que ceux-ci passent un bon moment ensemble pour parler de ce qu’ils ressentent ou du déroulement de leur vie personnelle. Parler du boulot ? Oui. De sport ? Oui. De voitures ? Oui. De pêche, de chasse, de golf ? Oui. Mais de ce qu’ils ressentent ? Rarement.

Les femmes font cela depuis toujours. Nous partageons – du fond de notre âme – avec nos sœurs/mère, et apparemment ceci est bon pour la santé.

L’orateur explique aussi que de passer du temps avec une amie est tout aussi important pour notre état général que de faire du jogging ou de faire de la gym.

Il y a une tendance à penser que lorsque nous faisons de l’exercice nous soignons notre santé, notre corps, alors que lorsque nous passons du temps avec nos amies nous perdons du temps et que nous devrions nous acquitter de choses plus productives – ceci est faux.

Donc, chaque fois que vous passez du temps avec vos amies, pensez que vous faites bien, félicitez-vous de faire quelque chose de positif pour votre santé.

Message à faire passer à toutes les femmes que vous aimez… et à tous les hommes aussi !

Pourquoi certaines personnes ne guérissent-elles pas?

Le 26 avril 2015

« Sous chaque « maladie » se trouve l’interdiction de faire quelque chose que nous désirons ou l’ordre de faire quelque chose que nous ne désirons pas. Toute guérison exige la désobéissance à cet interdit ou à cet ordre. Et pour désobéir, il faut se débarrasser de la peur enfantine de ne plus être aimé, c’est à dire abandonné. Cette peur entraîne un manque de conscience:
Celui qui en est affecté n’a pas conscience de ce qu’il est vraiment, car il essaye d’être ce que les autres attendent qu’il soit. S’il persiste dans cette attitude, il transforme sa beauté intime en maladie. La santé ne se trouve que dans l’authenticité. Pour parvenir à ce que nous sommes, il faut éliminer ce que nous ne sommes pas. Le plus grand bonheur, c’est d’être ce que l’on est. »

Alexandro JODOROWSKY

« Ce n’est pas un signe de bonne santé que d’être bien adapté à une société profondément malade. »

(Jiddu Krishnamurti)

« Pour conserver et améliorer votre santé, commencez par vous concentrer sur ce qui est vivant en vous et renforcez-le. Il faut comprendre que seuls les éléments vivants peuvent s’opposer à la maladie.
Vous avez un abcès ou une plaie ? Si les entités vivantes de votre organisme, capables de refermer la plaie ou de faire sortir les impuretés de l’abcès, sont chloroformées à cause de la vie désordonnée que vous menez, l’abcès ou la plaie va s’envenimer. Vous pourrez utiliser tous les désinfectants, pommades et pansements possibles, si ces entités n’ont pas les conditions pour faire convenablement leur travail, les remèdes extérieurs resteront inefficaces. Tandis que si vos ouvriers intérieurs peuvent travailler librement, ils participeront à la guérison. Alors, c’est clair, changez votre façon de considérer la santé et cherchez tous les moyens d’intensifier la vie en vous. »

Omraam Mikhaël Aïvanhov

Peur du changement: pourquoi, parfois, les gens ne guérissent pas.

Un médecin intuitif partage avec nous sa vision unique de la raison pour laquelle les gens ne guérissent pas. Il a longtemps pensé que tout le monde voulait être guéri. Mais il a fini par se rendre compte que « la guérison était très désagréable ! » Les obstacles à la guérison comprennent le fait d’abandonner de vivre dans le passé, de cesser d’être une victime et la peur du changement. Diriger notre pensée et notre énergie sur notre passé se fait au détriment de nos cellules et de nos organes qui ont besoin d’énergie pour fonctionner et guérir.

La guérison exige de vivre dans le présent et de récupérer l’énergie piégée dans nos traumatismes et dans nos blessures. Ce médecin dit que la seule raison de nourrir et de garder le passé vivant, c’est l’amertume de ce qui s’est passé.

Refuser de pardonner à un évènement ou à une personne du passé produit des fuites d’énergie. Le pardon guérit les fuites. Le pardon n’a rien à voir avec le fait de ne pas responsabiliser les autres pour les blessures qu’ils ont causées. Il a plus à voir avec la liberté de la personne qui se perçoit comme une victime.

Quand nous arrivons à voir un évènement douloureux de notre vie comme un message ou un défi plutôt que comme une trahison personnelle, l’énergie de vie liée à cet évènement reflue vers les circuits énergétiques de notre corps physique.

Les gens ne guérissent pas parce qu’ils ne se sont pas libérés de l’illusion d’être une victime. Trop souvent, les gens obtiennent du pouvoir sur les autres
grâce à leurs blessures parce qu’ils ont trouvé que ça leur apportait du soutien. Les blessures deviennent alors un moyen de manipuler et de contrôler les autres.

La guérison exige souvent des changements de mode de vie, d’environnement et de relations. Le changement peut être effrayant !

Il est facile de rester dans un circuit d’attente, en affirmant que l’on ne sait pas quoi faire, alors que c’est rarement vrai. En fait, lorsque nous restons dans un circuit d’attente et que nous savons exactement ce qu’il faut faire, c’est que nous sommes terrifiés par le fait d’agir en conséquence…

Le changement est effrayant et le temps d’attente donne un sentiment de sécurité, alors que la seule façon d’acquérir véritablement ce sentiment de sécurité est d’entrer dans le tourbillon des changements et de se sentir vivant à nouveau.

La guérison nécessite une action. Bien manger, faire de l’exercice quotidiennement, prendre le bon médicament produisent des changements sains dans le physique.

Relâcher le passé, laisser tomber les emplois stressants ou les relations inappropriées sont des actions qui libèrent l’énergie du corps.

Ce qui améliore l’une améliore l’autre, la puissance physique et l’énergie sont intimement liées.

Même le processus de la mort auquel nous sommes tous confrontés, peut devenir un acte de guérison des vieilles blessures qui se libèrent en résolvant les questions laissées en suspens avec ses proches.

María de los Ángeles RODEIRO

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La voie spirituelle reconnue pour guérir

Le 21 avril 2015

Une révolution s’amorce dans la médecine. La “spiritualité” et la “guérison par voie spirituelle” sont des thématiques désormais intégrées dans le cursus d’études de beaucoup de facultés de médecine américaines. Une nouvelle qui conforte l’action du Cercle des amis de Bruno Gröning.

Parmi 45 facultés de médecine, dont celle de Washington, l’université renommée de Harvard à Boston introduit aujourd’hui la spiritualité et la médecine
dite “intégrative” dans la recherche clinique et dans l’enseignement.

On assiste à une prise de conscience et à la reconnaissance des valeurs traditionnelles dans l’éthique médicale qui sont le signe d’un renouveau.

Ces avancées marquantes témoignent de la tendance actuelle à un retour aux principes ancestraux fondés sur le caractère indissociable de l’âme et du corps.

L’enseignement de Bruno Gröning rappelle parfaitement ce postulat qui repose sur l’existence d’une force naturelle d’ordre spirituelle à laquelle chacun
peut se relier librement en conscience et qui peut engendrer la guérison d’affections, même réputées incurables.

Le rôle précurseur du Groupe médico-scientifique spécialisé (MWF)

Actif sur tous les continents, le Cercle des amis de Bruno Gröning a depuis 1992 constitué en son sein un Groupe médico- scientifique spécialisé (MWF)
composé de médecins et autres professionnels de la santé de plus de 70 pays. Sa tâche consiste à recenser, vérifier et documenter les aides et guérisons
obtenues par voie spirituelle, grâce à l’enseignement de Bruno Gröning, sur la base d’éléments médicaux produits par des médecins indépendants. Toutes
les activités dans ce cadre sont bénévoles.

Selon Bruno Gröning, la guérison est une grâce divine.

Des guérisons par voie spirituelle prouvées médicalement

Michele G., médecin, New York :

Guérison d’une angine de poitrine

Depuis 2004, je souffrais de troubles dus à une angine de poitrine. La douleur était typique. Lorsque je montais les escaliers, je devais m’arrêter, car
j’étais à bout de souffle. Je n’ai pas consulté de collègue, car les symptômes étaient clairs. J’assistai à une conférence médicale du Groupe MWF. En tant
que médecin homéopathe, j’étais en mesure de croire ce que j’entendais. Je ressentis une grande force qui m’a impressionné. J’ai alors pratiqué au quotidien
l’enseignement de Bruno Gröning. A ma grande surprise, un mois plus tard, tous mes troubles avaient disparu.

L‘enseignement de Bruno Gröning

L’enseignement de Bruno Groening suppose l’existence de forces spirituelles qui ont une influence nettement plus grande que ce qu’on croit habituellement.

Bruno Groening compare les hommes à une batterie. Chacun de nous dans la vie de tous les jours perd des forces. Toutefois, bien souvent, les énergies nouvelles
qui nous sont nécessaires ne seront pas captées en suffisance. De même qu’une batterie vide ne peut fonctionner normalement, ainsi un corps sans force
ne peut remplir ses tâches. Les conséquences en seront la fatigue, la nervosité, les angoisses existentielles et, en fin de compte, la maladie.

Bruno Groening expliquait donc comment chacun pouvait retrouver des énergies nouvelles. Pour cela, la foi dans le bien est une condition préalable tout
aussi importante que la volonté de guérir. L’homme est partout entouré d’ondes curatives, qu’il suffit de capter. D’après Bruno Groening il n’existe pas
de maladie incurable, ce que confirment les témoignages de réussite contrôlés médicalement. Les guérisons se produisent ici uniquement par voie spirituelle
et ne sont donc pas liées au corps physique de Bruno Groening.

Le but de l’enseignement de Bruno Groening est de transformer un malade en une personne heureuse de vivre, libre de contraintes corporelles et psychiques.

Article source à voir ici (nouvelle fenêtre)

Visiter la page du Cercle des amis de Bruno Gröning sur le site de notre partenaire Neo Bien-être

Malade et pourtant… pas malade!

Le 25 mars 2015

« Quelqu’un dit : « Je suis malade, vous le voyez bien. » Et en effet on voit qu’il est malade, mais ce n’est qu’une partie de son corps qui est atteinte. S’il ne cesse d’insister sur sa maladie, c’est comme s’il s’identifiait à la partie malade et lui donnait la possibilité d’occuper la totalité du terrain, non seulement dans le plan physique, mais dans le plan psychique aussi.
Celui qui est gravement malade doit se dire : « Mon corps est malade, c’est vrai, mais moi, fils de Dieu, étincelle divine, je ne peux pas être malade. » Et cette conviction le place au-dessus de sa maladie : il ne s’identifie pas à son corps, mais à son esprit qui vit dans la lumière et dans l’éternité. En décidant d’appliquer cette loi de la primauté de l’esprit, il produira d’abord des changements dans la région de la pensée. Ces changements influenceront ensuite la région du sentiment, de la sensation, qui finiront par se concrétiser dans le plan physique, entraînant des améliorations et parfois même la guérison. »

Omraam Mikhaël Aïvanhov

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Apportez l’amour à vos organes vitaux

Le 22 mars 2015

Apportez l’amour à vos organes vitaux

Nos problèmes sont dans l’ensemble très complexes, au point que nous nous laissons submerger par eux. La plupart d’entre nous sont pris de découragement ; nous baissons les bras et n’essayons même plus de comprendre le tableau intégral de la vie.

Nos têtes chancellent tant elles sont pleines d’informations venant de toutes parts (télévision, radio, journaux, ordinateurs). Il nous faut arriver à les assimiler, ce qui n’est pas facile, d’autant que nous vivons dans la dissociation corps/esprit. Un corps sain n’est pas atteint par le stress de la vie moderne ; celle-ci lui fournit même l’occasion de créations nouvelles. Seulement, nombre de gens ne connaissent pas les mécanismes qui leur assureraient un équilibre naturel corps/esprit. Ils essaient d’assimiler le monde mentalement, par l’accumulation de concepts, de pensées, de désirs. Ils oublient que leur corps est contraint de transporter vingt-quatre heures sur vingt-quatre tout l’excédent de bagage mental et que celui-ci l’épuisera à la longue. L’épuisement corporel se traduira par une crise cardiaque, de l’arthritisme ou des dysfonctionnements hépatiques. Lorsque nous craquons, nous accusons notre “ pauvre corps ”, à tort car le véritable coupable est notre mental sur-stressé.

La plupart d’entre nous ignorent jusqu’à la localisation de leurs organes physiques ; et ne parlons pas de leur taille, de leur forme et de leurs fonctions, ce qui est une preuve de notre ignorance des rapports existant entre le corps et le mental. En admettant même que nous ayons une connaissance intellectuelle de nos organes physiques, celle-ci ne nous en donne pas une expérience tangible, car nous ne percevons pas les messages subtils qu’ils nous lancent sans cesse. Par exemple, nous croyons être contents lorsque notre mental l’est. Même si nos intestins se rebellent contre la suralimentation, si nos poumons sont chargés de nicotine, nos reins épuisés par l’abus de café, le mental, de son côté, continuera d’apprécier la cuisine gastronomique, la cigarette et le café. Nous sommes sourds aux messages que nous lancent nos organes et empêchons ainsi que s’actualise en nous l’expérience d’un profond bien- être physique.

Nous sommes comparables à cet automobiliste inconscient qui passe son temps à laver et briquer son véhicule puis à rouler sur des chemins poussiéreux, pleins de bosses et à qui il ne viendrait à l’idée ni de changer les bougies ni de faire une vidange. Lorsque sa voiture refuse de rouler, il pousse des jurons, se plaignant de ne pas être mécanicien et accusant le garagiste qui, pourtant, l’avait averti que la voiture avait besoin d’une révision complète. Nous avons exactement le même comportement. Nous dé pensons notre énergie (et notre argent) pour notre apparence physique, mais nous nous maltraitons intérieurement. Nous avons un régime alimentaire déséquilibré, buvons de l’alcool, fumons. Et pire encore : nous nous privons d’amour.

Or, s’il vient un jour où le souffle nous manquera, où nos reins seront bloqués, où un cancer se déclarera, nous en serons bouleversés. D’aucuns arrivent à se convaincre de façon étonnante qu’ils ne sont pour rien dans leurs maladies. Ils s’empressent de porter le blâme de leur mauvaise santé sur les gênes, le vieillissement, la chance, etc. Trop de gens sont inconscients de ce qu’une maladie est directement imputable à des années entières de stress, d’abus corporels apparemment mineurs, notamment pour ce qui est des organes vitaux. Les organes vitaux sont intimement liés au cerveau. Le corps est le filtre de nos perceptions, de nos sentiments, de nos pensées ; il est notre magasin de souvenirs, le sens même de notre identité. Peu de gens réalisent que l’arrêt temporaire du fonctionnement psychique, l’absence temporaire de pensées ou de sensations, n’empêchent pas nos organes de continuer à fonctionner. Par contre, lorsque la rate éclate, que le cœur s’arrête de battre ou que le foie ne remplit plus ses fonctions, notre vie est vraiment en danger.

Le cerveau commande, mais ce sont les organes qui font le travail. Imaginez que vos organes travaillent dans une usine. Si le patron n’est jamais là ou s’il fait fi des doléances de ses employés (conditions de travail, horaires trop chargés, salaires trop maigres), ceux -ci vont finir par se décourager, se mettre en grève ou donner leur démission. L’usine ne tourne plus, la fabrication est arrêtée ; à ce moment-là le patron se voit contraint d’ouvrir les négociations. Un peu tard car, si les ouvriers ont quitté leur travail, son autorité a baissé ; peut-être l’usine ne rouvrira-t-elle jamais et le patron perdra-t-il son gagne-pain (n’oubliez pas que le problème ne date pas d’hier!).

Extrait du Livre : ENERGIE VITALE ET AUTOGUERISON de Mantak Chia aux Editions Dangles

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528HZ, la fréquence de l’amour

Le 18 mars 2015

Découvrez 528HZ, la fréquence de l’amour, de la transformation, de la guérison…

La fréquence 528 hz est considérée comme la vibration de l’amour universel. Elle est utilisée par les biochimistes en génétique pour réparer et reprogrammer l’ADN déstructuré. Elle a même permis de dépolluer une partie du Golfe du Mexique. Une équipe de chercheurs dirigée par le DR Horowitz, diplômé de l’Université de Harvard, a mis en évidence le pouvoir de guérison de certaines vibrations sonores déjà connues de nos ancêtres. La fréquence de 528 HZ provient de l’expression
« mi-gestorum ra » qui signifie « miracle ».

Un son à 528HZ nettoie « miraculeusement » de l’eau polluée par le pétrole dans le Golfe du Mexique, selon une nouvelle étude menée par un chercheur canadien.

Perdido Bay, Alabama

Une série de sons émise dans de l’eau polluée au pétroleprovenant du golfe du Mexique a « miraculeusement » purifié des échantillons de test de leurs éléments pétrochimiques mortels, dit un chercheur Canadien bien connu.

Selon John Hutchinson, expert en énergie électro-magnétique de Vancouver, BC, Canada, une sélection de « musique » a contribué à purifier l’eau contaminée. Les fréquences en question incluaient le « son de Jupiter », récemment enregistré par la NASA, vibrant dans le voisinage de la fréquence de 528Hz.

Cette énergie sonore a été définie comme correspondant à la couleur jaune-verdâtre – le cœur de l’arc-en-ciel, – le spectre de couleur électromagnétique, connu dans le monde botanique, selon le Dr Leonard Horowitz, qui a beaucoup écrit à propos de cette tonalité pure. De toute évidence, la nature se sert de cette nuance, le pigment de chlorophylle pour produire l’oxygène et l’énergie nécessaires à la vie.

Selon le Dr Horowitz, les résultats de l’étude de Hutchinson sont très prometteurs, puisqu’ils ont été certifiés par le laboratoire d’essais d’analyse chimique, le « Analytical Chemical Testing Laboratory, Inc. » de Mobile, en Alabama, et sont en accord avec les études et les prévisions fondées sur les découvertes les plus avancées en mathématiques, physique et biophysique.

La fréquence de 528Hz, la note « Miracle » de l’échelle originelle musicale du solfège, n’est qu’une des neuf « fréquences créatives centrales » dans un « Cercle Parfait du Son » qui anime la réalité physique, comme la technologie de l’énergie atomique, en utilisant des électrons filature qui vibrent avec l’électro-résonance.

L’image ci-dessous est un des cristaux d’eau les plus parfaits, les plus détaillés et les plus purs jamais photographiés. Il s’est formé pour réfléchir le son du soleil.

En 2009, le chercheur David Sereda a envoyé au Dr Horowitz des enregistrements du soleil par la NASA ainsi que cette substance produite par les chercheurs en Russie. Plus tard, le Dr Horowitz a comparé le son du soleil et de Jupiter aux sons purs du « Cercle Parfait du Son », dont les fréquences 528Hz. L’expert qualifié de la santé publique de Harvard a noté que 528Hz était très clairement l’harmonique commune aux deux enregistrements.

Le Dr Horowitz croit que la fréquence de 528Hz est également fondamentale pour « L’AMOUR » – le « Guérisseur Universel » et recommande la combinaison de la fréquence de « L’AMOUR/528 » avec le « solvant universel » – L’eau – pour faire avancer « l’avenir de la médecine ».

Les hydrosoniques de L’AMOUR.
À cette fin, l’auteur et cinéaste primé publie deux revues en ligne Hydrosonics, qui traite des répercussions puissantes des sons sur l’eau, et Medical Veritas, qui annonce les avancées des moyens naturels pour mettre fin à la pollution et faire progresser la guérison.

John Hutchison est un scientifique célèbre, connu notamment pour avoir examiné Le Triangle des Bermudes et expliqué les événements étranges appelés « L’effet Hutchison », dans cette région tristement célèbre de l’océan Atlantique, tous liés à des perturbations électromagnétiques d’origine inconnue. Le gouvernement canadien a fortement persécuté Hutchinson au fil des années; la dernière fois, c’était pour avoir prétendument provoqué la lévitation de son voisin sans le consentement de ce dernier.

La collaboratrice de Hutchinson, Nancy Lazaryan, journaliste dans le Minnesota, a déclaré que lors de leur recherche, ils ont eu l’intuition d’y inclure le son de 528Hz dont ils ont observé qu’elle faisait bouillonner fortement l’oxygène provenant du fond du Golfe de Perdido Bay pollué par le pétrole, entre la Floride et l’Alabama.

Le duo a commencé sa recherche en demandant que des échantillons d’eau polluée du golfe soient envoyés au laboratoire de Hutchison à Vancouver. Sur place, Hutchison et Lazaryan firent des expériences en utilisant des sons anciens du solfège ainsi que des fréquences de chant grégorien qui étaient traditionnellement utilisées pour la guérison. Les fréquences ont été appliquées à plusieurs échantillons d’eau polluée, via des ondes audio et radio, avec des résultats spectaculaires.

Hutchison et Lazaryan empaquetèrent alors leur équipement de laboratoire, empruntèrent une remorque et un camion agricole et voyagèrent entre le Canada et le Golfe. L’analyse chimique de leurs premières fréquences « en plein air » dans le cadre de leurs expériences à Perdido Bay leur prouvèrent que «l’eau du Golfe peut être assainie. »

À ce jour, le gouvernement fédéral s’est appuyé sur un dissolvant de pétrole mortel, Corexit, un produit chimique Goldman Sach / Boots & Coots, qui qovoque la maladie et même la mort de nombreuses personnes ainsi que la faune.

Par ailleurs, Hutchinson et Lazaryan recommandent un « courant de son » harmonique pour purifier complètement l’eau polluée. Le couple affirme que l’inspiration de ces harmoniques est née des Esséniens, une secte d’Israël dont Jésus aurait été membre. Le « cercle intérieur » Esséniens enseignait que le « flux du son » faisait partie de la puissance créatrice du Divin.

La tonalité de 528 Hz est connue par les anciens pour être une « fréquence de guérison » et beaucoup de gens croient qu’elle peut être utilisée pour réparer l’ADN endommagé. Plus récemment, le Dr Horowitz, en travaillant avec le mathématicien Marko Rodin, a avancé la thèse d’une relation mathématique avec la structuration génétique, puisque d’après Rodin, des segments d’ADN reproduisent « le motif de l’infini, » qui selon ce que d’autres prédisent, va tout révolutionner.

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Comment l’esprit soigne le corps

Le 11 mars 2015

Comment l’esprit soigne le corps
Par
Estelle Saget
publié le 27/09/2014 à  09:59, mis à jour le 08/10/2014 à  16:18

Depuis longtemps, la médecine s’intéresse aux méfaits du stress pour la santé. Des découvertes récentes montrent qu’à l’inverse le mental peut avoir un
effet bénéfique sur toutes sortes de pathologies. Grâce à la brèche ouverte par les neurosciences, les chercheurs mesurent toujours mieux le pouvoir et
les ressources de nos émotions. Etat d’un chantier prometteur. 

Les émotions positives siègeant dans le cerveau influent directement sur l’organisme et permettent d’éviter certaines maladies.

REUTERS/Bobby Yip

Que le corps guérisse l’esprit, nul ne peut plus en douter. Les adeptes du yoga et du tai-chi le savent bien, qui retrouvent, par l’enchaînement de mouvements calculés, le calme et la sérénité intérieure. Mais que l’esprit, à son tour, guérisse le corps, pourrait sembler moins évident. Et pourtant… Les preuves en ce sens ne cessent de s’accumuler grâce, notamment, aux dernières
découvertes en neurosciences.

Les pensées et les émotions qui siègent dans le cerveau ont en effet une influence sur la santé, comme le montrent un nombre croissant d’études. Elles
peuvent entraîner des pathologies graves telles que l’infarctus, l’accident vasculaire cérébral (AVC), les maladies auto-immunes, voire le
cancer.
Mais – et c’est la bonne nouvelle -, elles permettent aussi d’éviter la maladie. Autrement dit, le mental, quand ses ressources sont bien utilisées, est
capable de voler au secours du corps. 

>> Lire aussi:
Les émotions, une arme anti-cancer ?

Prenons l’effet placebo, dont la réalité n’est plus à démontrer. Lorsqu’un médecin donne à son patient sans l’en avertir un faux médicament, une pilule de sucre sans principe actif, il obtient un effet thérapeutique réel, variable selon les individus. Même une consultation avec un spécialiste sans aucune prescription peut, selon des travaux récents, alléger la douleur, améliorer le sommeil, soulager la dépression et diminuer les symptômes dans bon nombre de pathologies, dont le syndrome
du côlon irritable, l’asthme, la maladie de Parkinson,
les troubles cardiaques et la migraine.

Plusieurs expériences ont montré que la présence et l’attitude du médecin modifient les réactions émotionnelles du patient, lequel ressort du cabinet moins
anxieux et plus optimiste. Mieux, les chercheurs se sont aperçus que des indices et des symboles perçus de manière inconsciente, comme la blouse blanche
ou le diplôme du médecin affiché sur le mur, mettaient le patient dans une disposition mentale propre à lui faire ressentir une amélioration.

Les vertus thérapeutiques de la félicité conjugale

Par quel mécanisme obtient-on ainsi un effet sur la sévérité de la maladie ? Il semble que le cerveau, après traitement par placebo, fabrique lui-même
les substances actives, à l’exemple des opioïdes, qui réduisent la douleur, comme le ferait une piqûre de morphine. Une véritable usine à gaz, loin d’avoir
livré tous ses secrets. 

Phénomène tout aussi intriguant, les gens mariés ont moins de risques de développer une pneumonie, de subir une opération chirurgicale, de développer un
cancer, de subir un infarctus ou de souffrir de démence. Ce fait établi a donné lieu à de nouvelles recherches, qui ont permis d’affiner le tableau. En
étudiant plus précisément la qualité des relations conjugales, les scientifiques ont découvert que l’effet protecteur du mariage disparaissait en cas de
disputes fréquentes dans le couple.

Les personnes « mal » mariées se révèlent même en plus mauvaise santé que celles restées célibataires ! Des expériences menées aux Etats-Unis montrent notamment
qu’au sein des couples qui se déchirent les défenses immunitaires des intéressés s’affaiblissent et les coupures sur la peau mettent plus de temps à cicatriser.
C’est donc la félicité conjugale, et non la vie commune en elle-même, qui serait bénéfique pour la santé. 

L’explication ? L’écoute, les gestes, le soutien d’un conjoint réconfortant permettent une meilleure régulation des émotions négatives, dont les effets
délétères sur l’organisme sont désormais prouvés. La colère est un exemple. Dans les deux heures qui suivent un emportement, le risque pour un individu
de souffrir d’un infarctus est multiplié par cinq et celui de souffrir d’un AVC par trois, selon la méta-analyse (une synthèse des résultats de toutes
les études publiées dans le monde sur le sujet) effectuée par une équipe américaine et parue le 4 mars dans la revue European Heart Journal. Ce risque
reste faible en valeur absolue, mais il constitue une menace réelle pour les personnes connaissant des accès de colère récurrents. 

Les voies qu’emprunte l’esprit pour parler au corps sont de moins en moins impénétrables. De nouvelles disciplines ont aussi émergé, croisant plusieurs
spécialités et portant, de ce fait, des noms à rallonge. La psychoneuroimmunologie associe la psychologie, la neurobiologie et l’immunologie (l’étude de
notre système de défense contre les microbes). Elle vise à comprendre la manière dont le psychisme influe sur l’organisme. Même finalité pour la psychoneuro
– endocrinologie, qui implique l’endocrinologie (la science des hormones).

Les défenses immunitaires amoindries par le stress psychologique

La neuropsychanalyse, elle, se propose d’explorer les convergences possibles entre les neurosciences et la psychanalyse. En jeu, à chaque fois : le rôle
du stress psychologique, qu’il provienne du travail, des relations conjugales ou familiales, ou encore d’événements traumatisants tels qu’un deuil. Confronté
à l’adversité sur une trop longue période, l’individu voit se réduire ses défenses immunitaires et subit des phénomènes chroniques d’inflammation tandis
que, à l’échelle des cellules, l’usure de ses chromosomes s’accélère. 

Face au danger, notre organisme, depuis les origines de l’homme, se prépare instantanément à l’action – le combat, ou la fuite – en produisant des hormones
qui dilatent les bronches, accélèrent le coeur et le rythme de la respiration. Si le danger s’évanouit, le métabolisme revient à la normale. Mais si la
situation stressante perdure, ce bain d’hormones finit par devenir nocif.

C’est ce qu’explique de manière très didactique la pédiatre Catherine Gueguen dans le livre Pour une enfance heureuse, repenser l’éducation à la lumière
des dernières découvertes sur le cerveau, qu’elle vient de publier aux Editions Robert Laffont. « La sécrétion prolongée de cortisol [l’une des hormones
du stress] peut modifier le métabolisme et l’immunité de l’organisme, entraîner le développement de maladies chroniques et de maladies auto-immunes (diabète,
sclérose en plaques, polyarthrite rhumatoïde) », écrit-elle, citant une recherche publiée en 2013. 

Cultiver des relations de qualité avec ses proches

A l’inverse, d’autres hormones se révèlent bénéfiques pour la santé, comme l’ocytocine, un puissant anxiolytique. « Elle est sécrétée lors de toute stimulation
sensorielle douce : les mots doux, la tétée [pour le bébé], le contact tendre, les caresses, les baisers, l’orgasme, mais aussi le simple contact avec
l’eau chaude », note le médecin. L’ocytocine est aussi libérée, en dehors de tout contact physique, lorsqu’on entretient une relation agréable avec autrui.

« Toute interaction harmonieuse, une ambiance chaleureuse, une conversation agréable, un plaisir partagé provoquent la sécrétion d’ocytocine, poursuit-elle.
Même un simple échange de regards, s’il est bienveillant, et même la seule évocation des êtres que nous aimons. » Par quel biais ? « La libération d’ocytocine
met en route l’activité parasympathique [ralentissement automatique des fonctions de l’organisme destiné à économiser l’énergie] avec tous ses effets physiologiques
: la tension artérielle baisse, l’organisme passe de l’excitation musculaire prête à l’action provoquée par le stress à un régime réparateur où l’énergie
sert au stockage des nutriments et à la croissance. L’activation du système nerveux parasympathique élève également le seuil de la douleur, nous rendant
moins sensibles aux inconforts. Il renforce l’immunité, aide au transit intestinal et favorise la cicatrisation. » 

Pour profiter à plein des effets de l’ocytocine, mais aussi des endorphines et de la sérotonine, toutes ces molécules du bien-être, un seul mot d’ordre
: cultiver des relations de qualité avec ses proches. Car la libération de ces substances est conditionnée à la tonalité des échanges, à l’ambiance dans
laquelle on évolue et aux contacts physiques que l’on établit avec les autres. On peut d’ailleurs améliorer ses relations affectives en suivant une psychothérapie
de couple ou individuelle. Quant aux méfaits du stress, on les combat efficacement en utilisant des techniques qui ont fait leurs preuves telles l’hypnose,
la
relaxation,
la sophrologie, la cohérence cardiaque et la
méditation.

Dans le yoga, discipline millénaire, corps et esprit sont intimement liés.

Reuters/Zainal Abd Halim

On ne cesse, d’ailleurs, de découvrir de nouvelles vertus à cette dernière pratique, millénaire et d’inspiration bouddhiste (voir L’Express no 3289). Entre
1970 et 2010, le nombre d’études scientifiques sur cette activité est passé de moins de 10 par an à près de 300, selon les données citées dans L’Esprit
est son propre médecin (de Jon Kabat-Zinn et Richard Davidson, éditions Les Arènes). Les chercheurs ont notamment enregistré des résultats probants dans
la dépression, l’addiction, les déficits de l’attention et la douleur. Leurs travaux se font désormais de plus en plus pointus. 

Rééduquer son cerveau en pratiquant des exercices appropriés?

Certains vont jusqu’à comparer différentes variantes de la méditation bouddhiste tibétaine. Le yoga de la déité, par exemple, consiste à visualiser une
image complexe et multicolore en trois dimensions représentant une divinité tibétaine. Dans la méditation ouverte, le méditant entretient une attention
également répartie et non dirigée vers un objet ou une expérience particuliers. « Avec la première technique, les sujets montrent une plus grande amélioration
de leurs facultés mentales sur une tâche de rotation mentale et sur une tâche de mémoire visuelle », indiquent Jon Kabat-Zinn et Richard Davidson. 

Autre solution pour mieux affronter une situation difficile et préserver ainsi son organisme d’un stress trop intense : chercher davantage de soutien social.
Dans une société plus individualiste que par le passé, on commence seulement à redécouvrir l’importance de l’aide apportée par le réseau des amis ou de
simples connaissances, sur les plans à la fois matériel et mental. De nombreuses études en psychologie de la santé l’attestent. Les plus récentes montrent
d’ailleurs que ce n’est pas tant le nombre de personnes qui compte, que l’intime conviction de pouvoir compter sur elles. Il est physiologiquement bienfaisant
de penser qu’il existe des individus capables de se mobiliser pour nous en cas de besoin et aux yeux desquels nous avons de l’importance. 

En somme, des gens qui se soucient de nous. Les relations sociales existantes constituent des ressources clefs, mais on peut également en cultiver de nouvelles.
On sous-estime à quel point l’appartenance à une communauté, un club sportif, un syndicat, une association, contribue au bien-être. 

Et demain ? L’être humain pourra peut-être rééduquer son cerveau en se livrant à des exercices appropriés, comme il rééduque déjà son dos ou son genou
par des séances de kinésithérapie. Parmi les techniques encore au stade expérimental, la plus en vogue est sans doute le neurofeedback. Dans cette forme
de « coaching » de l’organe de la pensée, le patient se concentre sur une idée ou une tâche et visionne en retour sur un écran son activité cérébrale. Il
peut ainsi s’entraîner à la normaliser, en orientant sa réflexion sur le sujet qui diminue ou augmente le plus les signaux électriques envoyés par les
neurones, selon l’effet recherché. Les scientifiques utilisent ce principe pour lutter contre les insomnies, l’hyperactivité, l’épilepsie, la maladie de
Parkinson et la dépression. Plus ludique, la réalité virtuelle semble en passe de tenir ses promesses. 

Une équipe suédoise vient de réaliser une expérience spectaculaire, relatée dans la revue Frontiers in Neuroscience. Les chercheurs ont « fabriqué », sur
l’écran de l’ordinateur, une prothèse virtuelle qui vient prolonger le bras d’un homme amputé. En leurrant son cerveau grâce à cette image, ils ont réussi
à le soulager de la douleur dite « du membre fantôme », que les mutilés ressentent comme siégeant dans leur bras ou leur jambe perdue. Une nouvelle démonstration
des puissants pouvoirs de l’esprit. 

Lire l’article original ici (nouvelle fenêtre)

Lire aussi:
Rika ZARAÏ parle de l’équilibre du corps et de l’esprit (nouvelle fenêtre)

Le principe d’abondance

Le 20 février 2015

Le principe d’abondance
Transmis par Joeliah le 15 – février – 2015

Avez-vous l’habitude de conserver des objets inutiles, en pensant qu’un jour, qui sait quand, vous pourriez en avoir besoin ?

Avez-vous l’habitude d’accumuler de l’argent et de ne pas le dépenser parce que vous pensez que vous pourriez en manquer dans l’avenir ?

Avez-vous l’habitude de mettre en réserve des vêtements, des chaussures, des meubles, des ustensiles et autres fournitures domestiques que vous n’avez
pas utilisés depuis quelque temps déjà ?

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Et en vous ?… Avez-vous l’habitude de garder des reproches, du ressentiment, de la tristesse, des peurs et plus encore ?

Ne le faites pas ! Vous allez à l’encontre de votre prospérité !

Il est nécessaire de faire de la place, de laisser un espace vide pour permettre à de nouvelles choses d’arriver dans votre vie.

Il est nécessaire de vous débarrasser de toutes les choses inutiles qui sont en vous et dans votre vie afin que vienne la prospérité.

La force de ce vide est une force qui va absorber et attirer tout ce que vous souhaitez. Tant que vous retenez matériellement ou émotionnellement des sentiments
anciens et inutiles, vous n’aurez pas de place pour de nouvelles opportunités.
Les biens doivent circuler…

Nettoyez vos tiroirs, les armoires, les ateliers, le garage….
Donnez ce que vous n’utilisez plus…

L’attitude qui consiste à garder un amas de trucs inutiles enchaîne votre vie en bas. Ce ne sont pas les objets que vous gardez qui font stagner votre
vie… mais plutôt l’attitude de garder…

Quand nous gardons en réserve, nous envisageons la possibilité du manque, de la pénurie…

Nous croyons que cela pourrait manquer demain et que nous ne serons pas capables de satisfaire ces besoins.

Avec cette idée, vous envoyez à votre cerveau et à votre vie deux messages :

Que vous ne faites pas confiance à l’avenir et que vous pensez que ce qui est nouveau et ce qui est meilleur ne sont pas pour vous.

Pour cette raison, vous vous réconfortez en conservant de vieux trucs inutiles.

Débarrassez-vous de ce qui a perdu ses couleurs et son éclat …

Laissez entrer chez vous et en vous-mêmes ce qui est nouveau…

C’est pourquoi, après avoir lu ceci…

Ne le gardez pas…

Faites-le circuler…

Puissent la prospérité et la paix venir à vous rapidement

Tiré du livre The Principle of Emptiness de JOSEPH NEWTON

© 2015,
Le Jardin de Joeliah.
Merci de citer la source : lejardindejoeliah.com